Insécurité et tentatives de déstabilisation de l’Etat : Ce qu’en pense Zéphirin Diabré

Zéph depuis ton affiliation avec Achille Tapsoba et non un nouveau CDP avec des nouvelles têtes pour une opposition forte, et rectifier les tirs mafieux de la majorité, je ne jamais partager tes sorties : Car un Achille Tapsoba que je connais, ou un Alain Yoda dans un groupe, devienne une association de profit d’intérêt personnelle, et non d’avoir des objectifs qui vont pour un peuple qui s’est battu pour une alternance politique saine et apaisée avec la jeunesse. La preuve est que ces derniers temps, tu as bien remarqué que ce Achille Tapsoba et d’autres, voyant que tu fonce a 100% pour consolider une opposition forte, et contrer une majorité qui force à renforcer la continuité de l’injustice et de l’impunité, qu’ils ont instauré depuis plus de 27 ans, t’ont abandonné pour utiliser le nom de Blaise Compaoré pour la continuité des magouilles. Si je partage ta sortie et tes analyse des choses, c’est que tes propos vont dans le sens dont je cris dans mes messages d’avertissements à tous les gouvernants, de Blaise Compaoré depuis décembre 1998, a Roch Kaboré du nouveau Burkina de 2016, en leur disant : ‘’’’Que sans une politique juste, une classe donnée ne pourra maintenir sa domination, et par conséquent ne sera pas en mesure d’accomplir son programme ni ses promesses au peuple qui l’a choisi. Dans le contexte actuel, avec les railleries du peuple contre leur sécurité, et la continuité de l’injustice et l’impunité dont les juges corrompus continuent a appliqué sous le silence des RSS, tes dires et tes analyses dans cette sortie, correspondent au besoin du peuple Burkinabé de la conduite correcte des affaires de l’état, pour résoudre leurs problèmes vitaux, conformément à leurs profondes aspirations. Je partage sans réserve de ce que tu vois actuellement, car une ligne politique comme le programme présidentiel de Roch Kaboré, adopté par plus de 50% du peuple Burkinabé, a besoin de s’appuyer de ce que le peuple exige, surtout avec une organisation correspondante au programme présidentiel, et non des ministres qui font ce qu’ils veulent individuellement selon leurs intérêts personnelle. Un conseil Zéph, ‘’’’persévère pour une opposition forte, car sans une opposition forte et saine, une majorité politique devienne une dictature en puissance.’’’’