Bassolma Bazié, secrétaire général de la CGT-B : « Un travailleur qui va en grève ne le fait pas de toute gaieté de cœur »
18 octobre 2016, 00:35, par
Oui
ça se passe ici au Faso.
On peut faire des commentaires, mais la réalité est là,
94% de nos ressources propres pour assurer le fonctionnement (salaires et autres charges d’à peine 150 000 fonctionnaires)
les 6% restant peuvent nous sortir des écoles sous paillottes ?
Oublions tout idée de développement, dans tous les cas l’histoire nous le dira. le mur n’est pas loin.......et nos enfants nous le dirons un jours....
ça se passe ici au Faso.
On peut faire des commentaires, mais la réalité est là,
94% de nos ressources propres pour assurer le fonctionnement (salaires et autres charges d’à peine 150 000 fonctionnaires)
les 6% restant peuvent nous sortir des écoles sous paillottes ?
Oublions tout idée de développement, dans tous les cas l’histoire nous le dira. le mur n’est pas loin.......et nos enfants nous le dirons un jours....
Le problème, c’est nos intellectuels