Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Insurrection populaire et putsch manqué : Les aspirations de la population demeurent d’actualité, selon la CCVC
26 septembre 2016, 06:24, par
Belco
Dire que les caisses de l’Etat sont vides raison pour laquelle ils ne peuvent pas répondre aux doléances des syndicats, personne ne croit à cela. N’est pas président qui veut, mais qui peut. S’ils ne sont pas capables de grâce qu’ils laissent rapidement la place à qui sont capables et ceux qui sont à mesure de répondre aux doléances des populations. Les burkinabé n’ont plus de temps à perdre avec n’importe qui encore. Les burkinabé veulent avancer maintenant. Est président celui la, avec son équipe sont capables d’aller chercher des moyens nécessaires pour répondre aux aspirations de sa population et non ceux qui vont passer tout le temps à pleurer avec des larmes de crocodile que les caisses sont vides. Comme si les caisses d’un pays sérieux ont déjà été pleines. Un Etat sérieux trouve des mécanismes financiers pour répondre aux doléances de sa population. Un Etat ce n’est pas une entreprise. Le sentiment en politique est révolu. Les burkinabé n’ont plus besoin des pleurnichards. A bon entendeur salut !
Dire que les caisses de l’Etat sont vides raison pour laquelle ils ne peuvent pas répondre aux doléances des syndicats, personne ne croit à cela. N’est pas président qui veut, mais qui peut. S’ils ne sont pas capables de grâce qu’ils laissent rapidement la place à qui sont capables et ceux qui sont à mesure de répondre aux doléances des populations. Les burkinabé n’ont plus de temps à perdre avec n’importe qui encore. Les burkinabé veulent avancer maintenant. Est président celui la, avec son équipe sont capables d’aller chercher des moyens nécessaires pour répondre aux aspirations de sa population et non ceux qui vont passer tout le temps à pleurer avec des larmes de crocodile que les caisses sont vides. Comme si les caisses d’un pays sérieux ont déjà été pleines. Un Etat sérieux trouve des mécanismes financiers pour répondre aux doléances de sa population. Un Etat ce n’est pas une entreprise. Le sentiment en politique est révolu. Les burkinabé n’ont plus besoin des pleurnichards. A bon entendeur salut !