Pouvoir MPP : Les mises en garde de Jean-Marc Palm
21 septembre 2016, 07:59, par
Cheick Omar
Le drame du MPP, ce sont ses soi-disant intellectuels qui rasent les murs au sein du parti, incapables de faire une analyse objective de la situation, attirer l’attention des premiers responsables afin que des mesures idoines soient prises pour le développement du pays. Mais hélas, beaucoup de ces cadres, arrivistes dans l’âme, préfèrent jeter à terre leurs convictions pour se contenter des miettes qui tombent de la tables des seigneurs du moment.
Heureusement qu’il en reste, des intellectuels honnêtes, lucides et toujours capables de discernement. Sont de ceux-là Jean-Marc Palm. Un intellectuel accompli qui s’est donné pour mission, entre autres, de se présenter en vigie face à la gouvernance du MPP. Je me rappelle ses interventions dans l’émission d’Alain Foca sur Thomas Sankara. Souvent relégué au second rang au sein de la nomenklatura du parti, il s’est toujours acquitté de sa tâche avec dévouement. Et souvent, il fallait assurer le sale boulot que les autres ne voulaient pas faire. Ministre des affaires étrangères dans le premier gouvernement du Front populaire, il a eu pour mission, entre autres, de justifier l’injustifiable : l’assassinat de Thomas Sankara. Et quand aujourd’hui, ce monsieur met en garde son parti, je pense que l’heure est grave. Roch doit prendre toues ses responsabilités.
Le drame du MPP, ce sont ses soi-disant intellectuels qui rasent les murs au sein du parti, incapables de faire une analyse objective de la situation, attirer l’attention des premiers responsables afin que des mesures idoines soient prises pour le développement du pays. Mais hélas, beaucoup de ces cadres, arrivistes dans l’âme, préfèrent jeter à terre leurs convictions pour se contenter des miettes qui tombent de la tables des seigneurs du moment.
Heureusement qu’il en reste, des intellectuels honnêtes, lucides et toujours capables de discernement. Sont de ceux-là Jean-Marc Palm. Un intellectuel accompli qui s’est donné pour mission, entre autres, de se présenter en vigie face à la gouvernance du MPP. Je me rappelle ses interventions dans l’émission d’Alain Foca sur Thomas Sankara. Souvent relégué au second rang au sein de la nomenklatura du parti, il s’est toujours acquitté de sa tâche avec dévouement. Et souvent, il fallait assurer le sale boulot que les autres ne voulaient pas faire. Ministre des affaires étrangères dans le premier gouvernement du Front populaire, il a eu pour mission, entre autres, de justifier l’injustifiable : l’assassinat de Thomas Sankara. Et quand aujourd’hui, ce monsieur met en garde son parti, je pense que l’heure est grave. Roch doit prendre toues ses responsabilités.