« Après la confiscation de l’insurrection des 30 et 31 octobre 2014, le Président Roch Marc Christian KABORE et son gouvernement méprisent les profondes aspirations du peuple », Ablassé Ouédraogo

Pauvre de Abilassé ! Peut à petit, il est en train de forger l’image du lépreux qui ne peut pas traire le lait mais peut le renverser. Loin de vouloir dire de ne pas critiquer, il faut savoir le faire et rester crédible. Vous avez mal posé votre problème dès le départ : aujourd’hui, on ne peut pas dissocier votre hargne et le fait que le président ne vous a pas encore reçu. Que Ablassé se rassure : le peuple burkinabé n’était pas mouton, il n’est pas mouton et ne sera jamais mouton. C’est au contraire un peuple très pondéré, responsable et qui sait attendre. Il y a beaucoup d’intellectuels burkinabè qui pense à l’avenir du pays et qui font surement des suggestions sans tapages. Vous les entendrez à coût sur s’ils estiment cela opportun.
Sans rancune !
De la part de quelqu’un qui avait de l’estime pour vous.