Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Pr Serge Bayala, directeur de l’IUFIC : « Ce n’est pas parce qu’on a 50, 60 ans…, qu’on ne doit plus apprendre »
19 septembre 2016, 13:03, par
Elmagnifico
Merci pour cet article d’une pertinence de haut vol, Monsieur OUEDRAOGO L. Omar ! Le Professeur Bayala a des arguments solides et il sait convaincre !
« Si vous mettez par exemple nos PME aux normes et standards de qualité, c’est leur permettre de faire des affaires avec le monde entier puisqu’elles véhiculeront un langage communs à leurs partenaires, africains, asiatiques, américains ou européens » ! Professeur Bayala c’est bien dit ! La question : qui va mettre ces PME aux normes standards ? Elles-mêmes ! Mais pas si sûr car rares sont les PME au Faso qui veulent investir sur l’homme, sur l’équipement afin de percer ! Elles sont plutôt les vecteurs de la décadence de l’économie burkinabè en ce sens qu’elles excellent dans la corruption et les bas prix pour s’arroger les marchés qu’elles exécutent du reste mal !
Aujourd’hui, à la lecture de cet article on éprouve une certaine fierté pour le Faso d’avoir un homme de la trempe du professeur Bayala, pragmatique, limpide, audacieux et clairvoyant.
C’est certain, vos étudiants feront tache d’huile dans les efforts de développement du Burkina Faso. Merci Professeur !
Merci pour cet article d’une pertinence de haut vol, Monsieur OUEDRAOGO L. Omar ! Le Professeur Bayala a des arguments solides et il sait convaincre !
« Si vous mettez par exemple nos PME aux normes et standards de qualité, c’est leur permettre de faire des affaires avec le monde entier puisqu’elles véhiculeront un langage communs à leurs partenaires, africains, asiatiques, américains ou européens » ! Professeur Bayala c’est bien dit ! La question : qui va mettre ces PME aux normes standards ? Elles-mêmes ! Mais pas si sûr car rares sont les PME au Faso qui veulent investir sur l’homme, sur l’équipement afin de percer ! Elles sont plutôt les vecteurs de la décadence de l’économie burkinabè en ce sens qu’elles excellent dans la corruption et les bas prix pour s’arroger les marchés qu’elles exécutent du reste mal !
Aujourd’hui, à la lecture de cet article on éprouve une certaine fierté pour le Faso d’avoir un homme de la trempe du professeur Bayala, pragmatique, limpide, audacieux et clairvoyant.
C’est certain, vos étudiants feront tache d’huile dans les efforts de développement du Burkina Faso. Merci Professeur !