Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »
29 août 2016, 10:08
Malheureusement, nous l’avons assassiné notre messie ; il était en avance sur notre temps. Thomas Sankara l’avait compris depuis bien longtemps, mais nous avons tous comploté pour l’éliminer. Imaginez ce que serait le Burkina Faso sous l’impulsion de la politique de notre Héro national ? Le Burkina serait bien parti et non mal parti. Thomas Sankara, repose en paix. Tu restera à jamais un grand homme. Si je savais n’a pas de queue. On pleure les grands hommes après les avoir perdus.
Malheureusement, nous l’avons assassiné notre messie ; il était en avance sur notre temps. Thomas Sankara l’avait compris depuis bien longtemps, mais nous avons tous comploté pour l’éliminer. Imaginez ce que serait le Burkina Faso sous l’impulsion de la politique de notre Héro national ? Le Burkina serait bien parti et non mal parti. Thomas Sankara, repose en paix. Tu restera à jamais un grand homme. Si je savais n’a pas de queue. On pleure les grands hommes après les avoir perdus.