Conseil municipal de Pabré : Les conseillers MPP suspendent leur participation aux sessions
23 août 2016, 16:45, par
Karissa
Un soupir pour Pabré
J’ai eu de vos boucliers écho,
Vous qui faites les braves généraux,
Courant le risque d’envoyer des troupes,
Sur un terrain où passe souvent votre route.
Je me serais de tout propos gardé,
Si seulement il ne s’était agi de Pabré.
Pour qui et pour quoi vibrerait ton cœur,
S’il ne le fait pour le site de ta demeure ?
Pabré, berceau noir du catholicisme !
Pabré, creuset silencieux de l’élitisme !
Un évêque barbu t’embrassa du regard,
Et tu engendres depuis des perles rares.
Je n’irai pas à Pabré par ce clair de lune,
Je me conterai de prendre ma plume,
Qui sait décliner tous les adjectifs,
Seyant aux vertueux et aux fautifs.
Je ne prendrai ni arme ni parti,
Dans votre fraternel rififi.
Chacun de vous parle pour la communauté ?
La communauté saura vous départager.
Un fantôme veut s’installer à Pabré,
La pluie de l’amour n’arrosera plus de gré.
Enfants de Pabré, chassez le Seulôngo,
Au-delà des frontières du Faso.
Vous tous, élus locaux de nos campagnes,
Cessez d’exproprier pour vos champagnes !
La miette de pouvoir qui vous est jetée,
Utilisez-la pour vous faire respecter.
Un soupir pour Pabré
J’ai eu de vos boucliers écho,
Vous qui faites les braves généraux,
Courant le risque d’envoyer des troupes,
Sur un terrain où passe souvent votre route.
Je me serais de tout propos gardé,
Si seulement il ne s’était agi de Pabré.
Pour qui et pour quoi vibrerait ton cœur,
S’il ne le fait pour le site de ta demeure ?
Pabré, berceau noir du catholicisme !
Pabré, creuset silencieux de l’élitisme !
Un évêque barbu t’embrassa du regard,
Et tu engendres depuis des perles rares.
Je n’irai pas à Pabré par ce clair de lune,
Je me conterai de prendre ma plume,
Qui sait décliner tous les adjectifs,
Seyant aux vertueux et aux fautifs.
Je ne prendrai ni arme ni parti,
Dans votre fraternel rififi.
Chacun de vous parle pour la communauté ?
La communauté saura vous départager.
Un fantôme veut s’installer à Pabré,
La pluie de l’amour n’arrosera plus de gré.
Enfants de Pabré, chassez le Seulôngo,
Au-delà des frontières du Faso.
Vous tous, élus locaux de nos campagnes,
Cessez d’exproprier pour vos champagnes !
La miette de pouvoir qui vous est jetée,
Utilisez-la pour vous faire respecter.