Affaire « appel Roch-Blaise » : « Nous n’avons aucun intérêt, aucun agenda à décliner avec l’ancien Président », réagit le 2ème Vice-président du MPP, Simon Compaoré

Du déjà vu, si à l’intérieure d’une équipe gouvernante ça d’effrité : A ce rythme avec des contradictions de nos RSS, c’est du déjà connu, comme autrefois les quatre les plus proches et conseillers autour de Blaise Compaoré, dont d’autres mentaient pour couvrir le mentor, et d’autres disaient la vérité en sous-marin, et au final un 18 septembre 1989 tout est allé très vite, et personne n’a su comment l’introverti a pris ses distances et commettre l’irréparable en éliminant un a un ses conseils et proches. Et rebelote avec les trios de 2005 -2014. Monsieur Simon Compaoré, le peuple s’en tape de ce coup de fil, si vous vous justifiez un a un, c’est que ce coup de fil a eu lieu, et il ne faut pas être un sorcier pour le savoir. Nous restons sur notre faim, avec vos mensonges à faire dormir, rien de nouveau qui ne soit déjà dit ou connu. Des mots creux qui n’intéressent pas le peuple. Le message que tu veux donner au peuple manque de crédibilité, donc faux. Si en tant que ministre de l’intérieur, tu nous confirmais par la voie de notre président a tous, que les dossiers de Norbert Zongo, Thomas Sankara, NEBIE, Dabo Boukary, et celui du coup d’état, étaient chez tel juge pour être jugés, tu seras écouté par un peuple meurtri, et qui attend une justice équitable pour tout oublié, et vous laissez la liberté de développer votre programme pour laquelle plus de 50% de la population vous ont fait confiance. Mais sortir pour démentir ce qui n’est pas à défendre, car ce coup de fil a été fait et te rend ridicule. La rencontre du TAC sera une vraie réussite si à la rencontre du président avec la presse, il disait publiquement en tant que président de tous les Burkinabé, qu’il a rencontré la diaspora Burkinabé en Côte d’Ivoire, plus un coup de fil à l’ex-président Blaise Compaoré : Ou sera le problème ? Ne sortez plus bernez un peuple meurtri avec vos problèmes qui ne sont pas des problèmes, mais de l’enfantillage.