Issa Balima, président de l’UFC : « Dans une dynamique d’apaisement, on peut prospecter des circonstances atténuantes pour les putschistes du 16 septembre »
5 août 2016, 21:45
Issa Balinais, il ne saurait avoir un processus d’apaisement quand Diendere et Bassole ont causé mort d’hommes, destruction des biens, chagrin chez les parents des personnes tombées sous les balles assassinés.
Ces messieurs et leurs complices n’ont jamais eu de remords et demandé la clémence du Peuple Burkinabè après une justice républicaine ayant puni leurs crimes.
Le pardon ne se donne pas, mais se mérite par une volonté ferme de ne plus jamais commettre le même forfait.
Issa Balinais, il ne saurait avoir un processus d’apaisement quand Diendere et Bassole ont causé mort d’hommes, destruction des biens, chagrin chez les parents des personnes tombées sous les balles assassinés.
Ces messieurs et leurs complices n’ont jamais eu de remords et demandé la clémence du Peuple Burkinabè après une justice républicaine ayant puni leurs crimes.
Le pardon ne se donne pas, mais se mérite par une volonté ferme de ne plus jamais commettre le même forfait.