Affaire abattage d’ânes à Ballolé : L’Association des journalistes du Burkina condamne la séquestration de ses confrères
28 juillet 2016, 12:39
À l’internaute N°8 : 0ben
Monsieur, si vos propos font allusion au droit à l’image comme je le suppose, sachez qu’en la matière un propriétaire ne peut s’opposer à l’exploitation de l’image de son bien que s’il prouve un préjudice lié à la diffusion de cette image. Ainsi, la seule limite au droit du propriétaire est l’absence de trouble anormal consécutif à la diffusion de l’image du bien ; donc le propriétaire doit prouver l’existence d’un trouble anormal pour s’opposer à l’utilisation de l’image de son bien par un tiers.
En outre une faculté est accordée à la presse, pour reproduire par voie de presse écrite, audiovisuelle ou en ligne, une œuvre photographique d’un bien, même privé, uniquement dans un but exclusif d’information immédiate et en relation directe avec cette dernière.
Trop de droit tue le droit.
Bravo à nos journalistes ; prenez conscience que vous êtes le quatrième pouvoirs et persévérez.
À l’internaute N°8 : 0ben
Monsieur, si vos propos font allusion au droit à l’image comme je le suppose, sachez qu’en la matière un propriétaire ne peut s’opposer à l’exploitation de l’image de son bien que s’il prouve un préjudice lié à la diffusion de cette image. Ainsi, la seule limite au droit du propriétaire est l’absence de trouble anormal consécutif à la diffusion de l’image du bien ; donc le propriétaire doit prouver l’existence d’un trouble anormal pour s’opposer à l’utilisation de l’image de son bien par un tiers.
En outre une faculté est accordée à la presse, pour reproduire par voie de presse écrite, audiovisuelle ou en ligne, une œuvre photographique d’un bien, même privé, uniquement dans un but exclusif d’information immédiate et en relation directe avec cette dernière.
Trop de droit tue le droit.
Bravo à nos journalistes ; prenez conscience que vous êtes le quatrième pouvoirs et persévérez.