Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
La démocratie à l’épreuve du feu ou la liberté sans limite
11 juillet 2016, 09:36, par
L’AFRICAIN
Bel article dans son fonds. Sans trop de commentaire, je dirai que l’africain a cessé d’être AFRICIAN ; puisqu’il a perdu sa culture, ses repères et est devenu hybride.
Conséquence il n’avance plus, tourne en rond pendant que les autres se développent. De cette frustration, est née la jalousie, la violence, le complexe, etc. Senghor disait que le beauté d’un tapis provient de la variété de ses couleurs.
Si chaque peuple doit apporter sa différence, sa culture pour enrichir la civilisation humaine, quel est l’apport de l’africain d’aujourd’hui au "tapis" mondial ; lui qui a renié toute son identité ? En abandonnant les bases de nos croyances séculaires, sommes nous devenus pour autant plus croyants, plus tolérants, plus innovateurs ?
Bref ! Le rôle des politiques, des intellectuels, et autres devrait justement nous amener à nous réapproprier toutes ces valeurs délaissées. En nous appuyant sur nos repères africains de base, nous pourrons aller sans complexe à la rencontre des autres peuples ; contribuer à humaniser davantage le monde dans lequel nous visions et qui nous entoure. Mais hélas...
Bel article dans son fonds. Sans trop de commentaire, je dirai que l’africain a cessé d’être AFRICIAN ; puisqu’il a perdu sa culture, ses repères et est devenu hybride.
Conséquence il n’avance plus, tourne en rond pendant que les autres se développent. De cette frustration, est née la jalousie, la violence, le complexe, etc. Senghor disait que le beauté d’un tapis provient de la variété de ses couleurs.
Si chaque peuple doit apporter sa différence, sa culture pour enrichir la civilisation humaine, quel est l’apport de l’africain d’aujourd’hui au "tapis" mondial ; lui qui a renié toute son identité ? En abandonnant les bases de nos croyances séculaires, sommes nous devenus pour autant plus croyants, plus tolérants, plus innovateurs ?
Bref ! Le rôle des politiques, des intellectuels, et autres devrait justement nous amener à nous réapproprier toutes ces valeurs délaissées. En nous appuyant sur nos repères africains de base, nous pourrons aller sans complexe à la rencontre des autres peuples ; contribuer à humaniser davantage le monde dans lequel nous visions et qui nous entoure. Mais hélas...