Les perles des élèves ne sont-elles pas d’abord celles des enseignants ?
4 juillet 2016, 19:53, par
Dabone
Tant qu’on ne mettra pas fin au nomadisme scolaire des élèves dans les villes cette histoire de perle continuera à étonner plus d’un. Qu’est ce qu’un enseignant pourrai bien changer du niveau d’un élève qui a passé son temps, plusieurs année de suite a changer d’établissement pour s’inscrire en classe supérieure quand il redouble ou quand on l’exclu.
A qui la faute ?
Les directeurs d’école qui permettent ces pratiques ;
Les fondateurs d’établissement qui ont commercialisé l’éducation de nos enfants ;
Les directions régionales d’enseignement qui ont trahi leur mission ;
Tout le ministère de l’enseignement égaré dans sa politique nationale d’éducation ;
Nos gouvernants qui ont échoué dans leur mission première. Ils refusent d’apporter une éducation saine aux enfants burkinabè. Education saine qu’ils ont gratuitement eux même bénéficié de leur père.
A titre d’exemple : De source sure, a Ouagadougou, près de 40% des établissements secondaires n’ont pas d’autorisation d’ouverture et donc aucune autorité n’a l’œil sur la qualité des enseignements dispensés. Allez y comprendre !
Tant qu’on ne mettra pas fin au nomadisme scolaire des élèves dans les villes cette histoire de perle continuera à étonner plus d’un. Qu’est ce qu’un enseignant pourrai bien changer du niveau d’un élève qui a passé son temps, plusieurs année de suite a changer d’établissement pour s’inscrire en classe supérieure quand il redouble ou quand on l’exclu.
A qui la faute ?
Les directeurs d’école qui permettent ces pratiques ;
Les fondateurs d’établissement qui ont commercialisé l’éducation de nos enfants ;
Les directions régionales d’enseignement qui ont trahi leur mission ;
Tout le ministère de l’enseignement égaré dans sa politique nationale d’éducation ;
Nos gouvernants qui ont échoué dans leur mission première. Ils refusent d’apporter une éducation saine aux enfants burkinabè. Education saine qu’ils ont gratuitement eux même bénéficié de leur père.
A titre d’exemple : De source sure, a Ouagadougou, près de 40% des établissements secondaires n’ont pas d’autorisation d’ouverture et donc aucune autorité n’a l’œil sur la qualité des enseignements dispensés. Allez y comprendre !