« Laissez-nous agir et vous jugerez après », Simon Compaoré, ministre de la sécurité
1er juillet 2016, 14:11, par
Beton
Monsieur le ministre, souffrez du fait qu’on vous critique au fur et à mesure, on ne peut pas vous laisser nous amener tout droit dans le mur.En ce moment nos critiques servirons à quoi ? Lorsqu’on vous critique ce n’est pas parce qu’on ne vous aime pas, le Faso est la maison de tous les burkinabè.Ce n’est pas parce que vous gérez le pouvoir que vous avez le monopole de la verité.Puisez dans ces critiques les suggestions qui vous seront utiles.
De toutes les manières que vous le voulez ou pas, nous, on ne se lassera jamais d’apporter notre modeste contribution à l’édification de l’œuvre commune.
Juste un conseil, arrête de faire du populisme , cette méthode c’est juste pour les élections, une fois au pouvoir, croit moi, elle se retourne toujours contre celui qui l’emploi.
Monsieur le ministre, souffrez du fait qu’on vous critique au fur et à mesure, on ne peut pas vous laisser nous amener tout droit dans le mur.En ce moment nos critiques servirons à quoi ? Lorsqu’on vous critique ce n’est pas parce qu’on ne vous aime pas, le Faso est la maison de tous les burkinabè.Ce n’est pas parce que vous gérez le pouvoir que vous avez le monopole de la verité.Puisez dans ces critiques les suggestions qui vous seront utiles.
De toutes les manières que vous le voulez ou pas, nous, on ne se lassera jamais d’apporter notre modeste contribution à l’édification de l’œuvre commune.
Juste un conseil, arrête de faire du populisme , cette méthode c’est juste pour les élections, une fois au pouvoir, croit moi, elle se retourne toujours contre celui qui l’emploi.