Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
« On ne pourra jamais gouverner ce pays avec trois têtes. C’est impossible », dixit Désiré Guinko, porte-parole du CCNOSC
29 juin 2016, 20:47, par
vox veritatis
Interview propre. Mais notre pays est piégé par le trio RSS. Tout le monde le sait. Je l’avais dit depuis : victoire du MPP = poursuite de l’impunité et perte d’autorité pour l’Etat. On dit que le poisson pourrit par la tête et nous nous avons acheté un poisson à la tête déjà pourrie après les élections présidentielles. Nous n’avons pas osé le changement et voilà le piège. L’impunité, la corruption et l’incivisme en chef se trouve à l’assemblée nationale (1/4 de siècle d’expérience maléfique) et avec immunité d’Etat maintenant. Tout le Faso sait que le nettoyage de ce pays doit commencer par le nettoyage des RSS. Et maintenant que ce sont eux qui doivent donner le ton, alors on va faire comment ? Nous avons raté notre tournant. Les Burkinabé ont soif de l’intégrité et de la justice perdues depuis octobre 1987 et que les RSS ne pourront jamais nous offrir. La baisse du prix du carburant, la hausse des salaires, et autres mesures calmantes touchent à peine 5% des aspirations du peuple Burkinabé.
Interview propre. Mais notre pays est piégé par le trio RSS. Tout le monde le sait. Je l’avais dit depuis : victoire du MPP = poursuite de l’impunité et perte d’autorité pour l’Etat. On dit que le poisson pourrit par la tête et nous nous avons acheté un poisson à la tête déjà pourrie après les élections présidentielles. Nous n’avons pas osé le changement et voilà le piège. L’impunité, la corruption et l’incivisme en chef se trouve à l’assemblée nationale (1/4 de siècle d’expérience maléfique) et avec immunité d’Etat maintenant. Tout le Faso sait que le nettoyage de ce pays doit commencer par le nettoyage des RSS. Et maintenant que ce sont eux qui doivent donner le ton, alors on va faire comment ? Nous avons raté notre tournant. Les Burkinabé ont soif de l’intégrité et de la justice perdues depuis octobre 1987 et que les RSS ne pourront jamais nous offrir. La baisse du prix du carburant, la hausse des salaires, et autres mesures calmantes touchent à peine 5% des aspirations du peuple Burkinabé.