« On ne pourra jamais gouverner ce pays avec trois têtes. C’est impossible », dixit Désiré Guinko, porte-parole du CCNOSC
29 juin 2016, 07:52, par
Cheick Omar
Sous la Révolution, le président Thomas Sankara a rendu la fierté au peuple burkinabè. Et depuis, notre cher Faso est connu et respecté à travers le monde. Sous la dictature du président Blaise Compaoré, qu’on le veuille ou pas, notre pays était au moins craint. Mais depuis l’arrivée du triumvirat après l’insurrection populaire, l’image de notre pays ne cesse d’être dégradé, un jour ne passe sans que le nouveau ancien pouvoir ne pose des actes incompréhensibles et aux antipodes des intérêts de notre nation. A chaque jour son lot d’humiliation au peuple burkinabè. Dommage qu’en l’espace de six mois, l’espoir cède la place à l’amertume et le désarroi.
Sous la Révolution, le président Thomas Sankara a rendu la fierté au peuple burkinabè. Et depuis, notre cher Faso est connu et respecté à travers le monde. Sous la dictature du président Blaise Compaoré, qu’on le veuille ou pas, notre pays était au moins craint. Mais depuis l’arrivée du triumvirat après l’insurrection populaire, l’image de notre pays ne cesse d’être dégradé, un jour ne passe sans que le nouveau ancien pouvoir ne pose des actes incompréhensibles et aux antipodes des intérêts de notre nation. A chaque jour son lot d’humiliation au peuple burkinabè. Dommage qu’en l’espace de six mois, l’espoir cède la place à l’amertume et le désarroi.