Judith Traoré, journaliste : « Albinos et fière de l’être »
14 juin 2016, 12:37, par
jan jan
En Afrique, la vie est dure pour un albinos, non seulement les conditions climatiques ne sont pas adéquates pour eux, trop de soleil, socialement avec tous les préjugés véhiculés sur eux celà ne leur facilitent pas la vie, économiquement la prise en charge médicale n’est pas à la portée de nombreuses familles ayant un enfant albinos, la solution comme dit l’internaute 2, si la personne a l’opportunité d’émmigrer dans un pays de l’occident qu’elle n’hésite pas. Là-bas, le climat y est plus favorable parce que moins de soleil et les structures sociales s’occupent bien des personnes souffrant de ce handicap.
En Afrique, la vie est dure pour un albinos, non seulement les conditions climatiques ne sont pas adéquates pour eux, trop de soleil, socialement avec tous les préjugés véhiculés sur eux celà ne leur facilitent pas la vie, économiquement la prise en charge médicale n’est pas à la portée de nombreuses familles ayant un enfant albinos, la solution comme dit l’internaute 2, si la personne a l’opportunité d’émmigrer dans un pays de l’occident qu’elle n’hésite pas. Là-bas, le climat y est plus favorable parce que moins de soleil et les structures sociales s’occupent bien des personnes souffrant de ce handicap.