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Le Juge Salifou Nébié deux ans après : Le collectif dénonce une lenteur de la justice

22 mai 2016, 22:19, par ka

’’’A’’’Yako ou qui sais-je : il faut être dans l’histoire avant de la raconté en réalité. Si tu l’a vécu, j’y était dans son ventre : Alors tu ne peux rien nous apprendre qui est le criminel le plus puissant du Burkina du 21e siècle qui s’appelle Blaise Compaoré, et je le raconte brièvement : ’’’3 capitaines d’une petite armée du Burkina ont décidé de prendre le pouvoir au CMRPN de SAYE ZERBO, l’un d’ entre eux est médecin de formation Jean-Baptiste Ouédraogo, est désigné comme le président du nouveau régime appelé CSP, et l’autre Blaise Compaoré l’introverti et caméléon appelé Blaise Compaoré profita pour éliminer les plus intelligents du CSP que tu cites, pendant ce temps, le président Jean-Baptiste Ouédraogo qui avait un pensant pour l’impérialisme, n’était pas le gout de son ministre Thomas Sankara, et sa désobéissance obligea le président Jean-Baptiste a l’envoyer dans une prison a Ouayouguiya, mais le caméléon Blaise Compaoré voyant une opportunité de monter un jour sur le trône, décida de le libérer en envoyant tout le régiment parachutiste dont il commandait, d’aller libérer Thomas Sankara, ces paras tua tous ceux dont ils trouveront sur leur chemin, tous les proches de Jean -baptiste Ouédraogo ont été tous tué par Blaise Compaoré. Il proclama Thomas Sankara président du CNR, et aussi comme son otage. De 1983 à 1987, Blaise Compaoré le puissant ministre de justice choisissait qui va mourir, ou il va mourir, et Thomas Sankara en avait assez, et voulait lui dire d’arrêter, mais le 15 Octobre 1987, devant un pavillon du conseil de l’Entente d’Ouagadougou, il fait canardé Thomas Sankara et tous ces compagnons et prend le pouvoir dans le sang, continuait à tuer qui il veut, ou il veut avec son régiment parachutistes dont la moitié sont devenus les éléments du RSP, c’est-à-dire ses hommes a tuer. Il a fallu un soulèvement populaire les 30 et 31 Octobre 2014, pour que Blaise Compaoré fui la queue sous les jambes. Et cette histoire que tu veux raconter à l’envers, peut-être raconté comme une récitation de l’école primaire par les élèves de l’époque. A vouloir condamner les autres à la place des autres, tu ne peux tromper le peuple Burkinabé mûri par cette histoire.


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