Récurrence des accidents : Le ministre de la sécurité promet une application stricte de la loi
20 mai 2016, 08:48, par
Ralentisseurs
Il faut songer à augmenter le nombre de ralentisseurs (des ralentisseurs dans les normes de la circulation ; pas des gendarmes-debout) sur les principales voies (Ouaga -Bobo, Ouaga-Dédougou, Ouaga-Tenkodogo, Ouaga-Fada, Ouaga-Ouahigouya, Ouaga-Pô, Ouaga-Dori, Ouaga-Léo, Ouaga-Djibo, etc.). Il faut faire en sorte qu’une voiture ou un car ne se lance plus à toute vitesse sur une distance de 10 à 20km. Il faut retirer les permis des chauffards pour 1,2,3, 6 mois voire plus. Il faut suspendre des cars de voyages pour des semaines, voire des mois s’ils persistent à tuer les voyageurs. Il faut aussi vérifier si ces morts ne sont pas liés à des rituels de la part des responsables des compagnies pour se faire de l’argent. Vous savez qu’il y a des commerçants ignobles qui bouffent du wack pour se faire de l’argent et en retour ils doivent fournir du sang humain, des vies humaines. Maudits soient ces commerçants, ces hommes d’affaires, ces hommes et femmes-là. Ils mourront les yeux ouverts et dans l’atrocité. Tout se paie ici bas.
Il faut songer à augmenter le nombre de ralentisseurs (des ralentisseurs dans les normes de la circulation ; pas des gendarmes-debout) sur les principales voies (Ouaga -Bobo, Ouaga-Dédougou, Ouaga-Tenkodogo, Ouaga-Fada, Ouaga-Ouahigouya, Ouaga-Pô, Ouaga-Dori, Ouaga-Léo, Ouaga-Djibo, etc.). Il faut faire en sorte qu’une voiture ou un car ne se lance plus à toute vitesse sur une distance de 10 à 20km. Il faut retirer les permis des chauffards pour 1,2,3, 6 mois voire plus. Il faut suspendre des cars de voyages pour des semaines, voire des mois s’ils persistent à tuer les voyageurs. Il faut aussi vérifier si ces morts ne sont pas liés à des rituels de la part des responsables des compagnies pour se faire de l’argent. Vous savez qu’il y a des commerçants ignobles qui bouffent du wack pour se faire de l’argent et en retour ils doivent fournir du sang humain, des vies humaines. Maudits soient ces commerçants, ces hommes d’affaires, ces hommes et femmes-là. Ils mourront les yeux ouverts et dans l’atrocité. Tout se paie ici bas.