Qui a osé gifler le député Laurent Bado ?!

Pardonne leur BADO car ils ne savent pas ce qu’ils font ou disent.Il n’y a qu’au Burkina Faso où les intellectuels sont humiliés en politique surtout.Les réactions de certains internautes vont au delà du simple incident.Il y’a des non dits !!! vous seriez né sous d’autres cieux que vous sériez promu plus que cela.Ne vous découragez pas ; demandez au Monsieur de se présenter à vous vous allez lui offrir à boire et à manger et vous lui pardonnerez sous des caméras si possible.Dieu vous le revaudra ! Vous avez fait ce que vous avez pu pour ce pays et la nation ne l’a pas reconnu.On vous a taxé de tous les noms d’oiseaux mais l’adversité ne vous a jamais empêché de dire votre "ventre" surtout quand il s’est toujours agi de vous prononcer sur la gestion du pouvoir dans votre pays.Aujourd’hui par excès d’altruisme selon moi vous aviez voulu donner une leçon de morale et la manière a peut être manqué et le clash est survenu. Vous auriez pu faire usage d’autre chose pour vous défendre mais le calme a prévalu et le pire a peut être été évité.Il y’en a qui en parlent parce qu’ils ne sont pas capables ou courageux de dire ce que vous dites ou tout simplement par antipathie naturelle masquée peut être d’un ethnicisme voilé. Dans tous les cas la vérité finit par triompher.Les autorités ont été prévenues sur l’incivisme grandissant qui a commencé loin de Ouagadougou (Sapouy, Fada, Dedougou) et ils n’ont pas réagi vigoureusement.Par la suite il s’est exporté dans la capitale et là encore ils ont encore manqué de courage et l’incivisme arpente les artères de Ouagadougou à la recherche de personnalités pour qu’enfin des solutions puissent lui être trouvées.Les élections municipales étant proches la réaction du gouvernement comme d’habitude ne sera pas à la hauteur de nos attentes et les solutions appropriées se feront attendre !Ce qui est certain est que chaque citoyen burkinabé a un nom de famille et aujourd’hui c’est BADO !Hier c’était DOUSSOUNGOU et comme Pr a l’habitude de le dire, je le cite "le bonheur et le malheur n’ont pas de domicile fixe".A qui le tour ?COMPAORE, ZOUGRANA ou SANOU ? A chacun son tour dans le Burkina post insurrectionnel avec a sa tête un président démocratiquement élu et vous me direz que le pays est géré.... tchrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr