Le président de l’Assemblée nationale chez le Mogho Naaba : La question de l’incivisme s’invite aux échanges
14 mai 2016, 20:50, par
Yako
On a refusé le sénat à Blaise alors que la suite des événements ont bien montré qu’on y échappera pas pour peu qu’on soit cohérents.En effet,le 30 et 31 oct 2014 la république et ses institutions ont bien montré leur limite en moins de 24 pas une seule institution n,a tenu.Armée, police,parlement,partis politiques...seul le pouvoir coutumier/religieux a tenu faisant office de république et pourtant il n’a aucune existence formelle ni dans la constitution ni dans les institutions qui en sont issues.
Conclusion:Si nous voulons bâtir un état qui tient la logique commande de tenir compte de ces forces de stabilisation au cas ou.Faute de quoi la république demeure l’affaire des élites urbaines loin du pays réel.D’ou la nécessité de prendre en considération ces pouvoirs intermédiaires à travers la mouture de l’avant-projet de la nouvelle constitution en gestation.Enfin,l’histoire reconnaîtra la sagesse du président Compaore à travers son projet "sénat"se faisant,il était en harmonie avec son pays ;le pays réel et non celui des élites urbaines beaucoup plus préoccupée par le pouvoir que par la paix sans laquelle il n’ya point de progrès social ni économique.
On a refusé le sénat à Blaise alors que la suite des événements ont bien montré qu’on y échappera pas pour peu qu’on soit cohérents.En effet,le 30 et 31 oct 2014 la république et ses institutions ont bien montré leur limite en moins de 24 pas une seule institution n,a tenu.Armée, police,parlement,partis politiques...seul le pouvoir coutumier/religieux a tenu faisant office de république et pourtant il n’a aucune existence formelle ni dans la constitution ni dans les institutions qui en sont issues.
Conclusion:Si nous voulons bâtir un état qui tient la logique commande de tenir compte de ces forces de stabilisation au cas ou.Faute de quoi la république demeure l’affaire des élites urbaines loin du pays réel.D’ou la nécessité de prendre en considération ces pouvoirs intermédiaires à travers la mouture de l’avant-projet de la nouvelle constitution en gestation.Enfin,l’histoire reconnaîtra la sagesse du président Compaore à travers son projet "sénat"se faisant,il était en harmonie avec son pays ;le pays réel et non celui des élites urbaines beaucoup plus préoccupée par le pouvoir que par la paix sans laquelle il n’ya point de progrès social ni économique.