Simon Compaoré et ses sept « Pick Up » à l’armée

C’est ça la réalité du pays, il faut attendre surtout de l’extérieur sinon c’est difficile de compter sur nous même pour prendre même les secteurs prioritaires en charge. Nos recettes propres sont englouties dans les salaires et les charges de fonctionnement de l’état. Je voudrais supplier nos intellectuels patriotes de dire clairement au gouvernant de revoir courageusement la copie de la masse salariale et des dépenses de fonctionnement à leur juste mesure sinon il serait difficile de ne pas mendier pour prendre même nos secteurs prioritaires en charge. Ne demandons pas le miracle à nos gouvernants, pour aller véritablement au développement il faut l’effort de tous surtout ceux qui sont capables d’avoir au moins deux repas acceptables par jour