Salif Diallo aux bobolais : « Nous allons bitumer toutes les artères principales de la ville »
9 mai 2016, 13:31, par
Kôrô Yamyélé
A Salif DIALLO, je rappelle ceci de la part de Jean De La FONTAINE dans sa fable ‘’Le lion devenu vieux’’ :
Le Lion, terreur des forêts,
Chargé d’ans, et pleurant son antique prouesse,
Fut enfin attaqué par les propres sujets,
Devenus forts par la faiblesse.
Le Cheval s’approchant lui donne un coup de pied,
Le Loup un coup de dent, le Bœuf un coup de corne.
Le malheureux Lion languissant, triste et morne ;
Peut à peine rugir, par l’âge estropié.
Il attend son destin sans faire aucunes plaintes ;
Quand voyant l’Âne même à son antre accourir,
Ah c’est trop, lui dit-il, je voulais bien mourir ;
Mais c’est mourir deux fois que souffrir tes atteintes.
Donc, toi aussi Salif DIALLO, vieux et languissant, malade et estropié par l’âge, reste tranquille et arrête de pomper l’air aux Citoyens.
A Salif DIALLO, je rappelle ceci de la part de Jean De La FONTAINE dans sa fable ‘’Le lion devenu vieux’’ :
Le Lion, terreur des forêts,
Chargé d’ans, et pleurant son antique prouesse,
Fut enfin attaqué par les propres sujets,
Devenus forts par la faiblesse.
Le Cheval s’approchant lui donne un coup de pied,
Le Loup un coup de dent, le Bœuf un coup de corne.
Le malheureux Lion languissant, triste et morne ;
Peut à peine rugir, par l’âge estropié.
Il attend son destin sans faire aucunes plaintes ;
Quand voyant l’Âne même à son antre accourir,
Ah c’est trop, lui dit-il, je voulais bien mourir ;
Mais c’est mourir deux fois que souffrir tes atteintes.
Donc, toi aussi Salif DIALLO, vieux et languissant, malade et estropié par l’âge, reste tranquille et arrête de pomper l’air aux Citoyens.
Par Kôrô Yamyélé