Issouf Toé, promoteur immobilier à Bobo-Dioulasso : « Tout est à refaire dans le domaine… »
7 avril 2016, 21:03, par
Nouna
Bjr Mr Toe,merci pour cette contribution.Cependant,je réalise qu’au Burkina la différence entre la valeur commerciale de l’immobilier et son rendement est surévalué ce qui constitue un obstacle à l’investissement productif.exemple la valeur commerciale d’une villa F3 sur 300m2 à Ouagadougou ou Bobo est autour de 30.000.000 or son rendement annuel est estimé à 8.00.000frs.Donc il vous faut 33 ans pour amortir le capital investi tandis qu’ un placement en banque rapporte 4% net annuel soit 1200.000frs.Tout ca est dû au fait que le secteur n’est pas encadré malheureusement les foyers modestes resteront tjrs locataires aux fins du mois difficiles.
Bjr Mr Toe,merci pour cette contribution.Cependant,je réalise qu’au Burkina la différence entre la valeur commerciale de l’immobilier et son rendement est surévalué ce qui constitue un obstacle à l’investissement productif.exemple la valeur commerciale d’une villa F3 sur 300m2 à Ouagadougou ou Bobo est autour de 30.000.000 or son rendement annuel est estimé à 8.00.000frs.Donc il vous faut 33 ans pour amortir le capital investi tandis qu’ un placement en banque rapporte 4% net annuel soit 1200.000frs.Tout ca est dû au fait que le secteur n’est pas encadré malheureusement les foyers modestes resteront tjrs locataires aux fins du mois difficiles.