Soupçons de malversations sur des magistrats : L’intersyndical exige la lumière : que de la merde
7 avril 2016, 22:01, par
jesuila
quelqu’un qui sait utiliser le net a, je suppose, un certain degré d’instruction. mais quand on lit les interventions des uns et des autres, on a l’impression que les gens n’ont plus de capacité de discernement. Pour ceux qui ont lu la parution du journal, il y a quand même des incohérences qui vont que nous devons éviter, sur la base d’éléments aussi légers, de jeter le déshonneur sur les toutes personnes citées, dont la plupart, selon le journal lui-même, n’ont pas reçu l’argent directement des mains du plaignant. qu’est ce qui prouve qu’il n’a pas été escroqué, sans que l’argent ne puisse parvenir aux magistrats ? certains magistrats ont aussi trop "gâté" le nom de leur corps, qu’on ne peut pas les défendre. et j’espère ne pas me tromper. la presse en elle-même un problème pour la paix sociale au BF, car les faits qu’elle publie sont souvent rocambolesques pour être vrais ; mais comme le plus souvent, elle s’adresse à une frange de pseudo-intellectuels qui n’attendent que ça pour parler au hasard, à vos marques, allez-y !
quelqu’un qui sait utiliser le net a, je suppose, un certain degré d’instruction. mais quand on lit les interventions des uns et des autres, on a l’impression que les gens n’ont plus de capacité de discernement. Pour ceux qui ont lu la parution du journal, il y a quand même des incohérences qui vont que nous devons éviter, sur la base d’éléments aussi légers, de jeter le déshonneur sur les toutes personnes citées, dont la plupart, selon le journal lui-même, n’ont pas reçu l’argent directement des mains du plaignant. qu’est ce qui prouve qu’il n’a pas été escroqué, sans que l’argent ne puisse parvenir aux magistrats ? certains magistrats ont aussi trop "gâté" le nom de leur corps, qu’on ne peut pas les défendre. et j’espère ne pas me tromper. la presse en elle-même un problème pour la paix sociale au BF, car les faits qu’elle publie sont souvent rocambolesques pour être vrais ; mais comme le plus souvent, elle s’adresse à une frange de pseudo-intellectuels qui n’attendent que ça pour parler au hasard, à vos marques, allez-y !