Safiétou Lopez, présidente d’honneur du CCNOSC : « Si nous n’avons pas reculé devant les crépitements des balles assassines du RSP, ce ne sont pas les magistrats qui vont nous faire reculer »

Ce que je ne comprends pas le fond du régime de Roch Kaboré, c’est d’avoir joué avec Blaise Compaoré, surtout Salif Diallo qui était en Autriche comme ambassadeur et a déclarer la guerre a son introverti Blaise Compaoré, en lui disant de dissoudre l’Assemblée Nationale pour un régime parlementaire. A partir de cette bombe atomique, Salif Diallo était devenu l’ennemi numéro un de la famille Compaoré, surtout de François Compaoré et de sa belle-mère GANDO. Pour le bouquet final, Salif Diallo devient un martyr pour le peuple Burkinabé, et qui a conduit Roch et Simon Compaorè a le porter secours, en reniant l’introverti, et le trio forme un parti redoutable pour opposer celui qui se dit homme fort. Pour moi cet acte devait être une bonne leçon historique pour les RSS, mais hélas, voilà qu’ils commettent la même erreur élémentaire, pour créer une pauvre femme un martyr aux yeux et a la barbe de 18 millions du peuple Burkinabé qui est la pauvre madame LOPEZ. Que la justice touche cette pauvre femme, et bientôt un soulèvement populaire fera chasser les RSS un midi avant le repas. Car La première cause qui mine le développement d’un pays, c’est sa justice ! La première cause qui crée des crises sociales dans un pays, c’est sa justice ! La première chose qui produise le soulèvement populaire dans tous les pays du continent Africain c’est la justice. Et je profite dire au président Roch Kaboré que sans une justice équitable, il ne pourra pas terminer son mandat. Sans une politique juste, une classe donnée ne pourra pas maintenir sa domination, et par conséquent ne sera pas en mesure d’accomplir sa tache. Oubliez madame Lopez, et réglez correctement avec vos juges corrompus les dossiers des crimes impunis, et celui du coup d’état a la maternelle de Gilbert Diendéré, avant d’attaquer des faux problèmes, ou accuser a tord et a raison une pauvre femme dans son droit, dans un pays dit de droit.