Les syndicats accusés par le Premier ministre d’être manipulés : La réponse de l’Unité d’action syndicale
3 mars 2017, 07:35, par
GUETBA
Ton menaçant du PM : les syndicats ont dit vrais ; donc le PM l’a reconnu et c’est une bonne chose.
Le non respect de la parole donnée du gouvernement : les syndicats ont dit vrais ; donc le PM l’a accepté et c’est une bonne chose.
Le laxisme du Gouvernement dans la mobilisation des recettes internes et face à ses "bailleurs" en période d’élections : le syndicat a dit vrai et tout le monde le constate.
L’absence totale de transparence, d’équité et très souvent d’humilité dans la gestion des derniers publics (mal gouvernance) par les prince du jour : les syndicats ont dit vrais et tout le monde le constate (n’oublions pas que nous sommes dans un pays de savane où tout le monde se voit)
Le nombre pléthorique de syndicats dans notre pays et le caractère très souvent réducteur des revendications au profit de groupuscules : les syndicats l’ont dit et c’est vrais (donc c’est leur autocritique)
QUESTIONS :
en dehors des revendications, que font les syndicats pour que chaque jour que Dieu fait les gouvernants se rappellent de ce qui doit être leur devoir quotidien dans la bonne gouvernance ? A mon sens rien car on oublie que c’est par ces rappels que tous finissent par s’accommoder à la vertu ;
toutes les sorties des syndicats font toujours référence aux droits des travailleurs, n’ont-ils pas de devoir à rappeler de temps en temps (je ne demande pas de citer quelques cas très très trésor rares) ? L’incivisme généralisé dans le pays est essentiellement dû au fait que dans ce pays tout le monde a un droit et personne n’a un devoir. Or ailleurs les deux font corps.
Chaque groupuscule (même dans le privé) dans ce pays a-t-il forcément besoin de se constituer en syndicat pour chaque fois mettre le couteau à la gorge de sa Direction ? Je pense qu’en plus de mettre à plat le système de salaires, il faut aussi profiter rédefinir des conditions (liées essentiellement à la taille de la corporation, au degré de sensibilité de l’absence de certains services vis à vis des population, ...) de création de syndicat et même de seuils de déclenchement de mouvement.
Ton menaçant du PM : les syndicats ont dit vrais ; donc le PM l’a reconnu et c’est une bonne chose.
Le non respect de la parole donnée du gouvernement : les syndicats ont dit vrais ; donc le PM l’a accepté et c’est une bonne chose.
Le laxisme du Gouvernement dans la mobilisation des recettes internes et face à ses "bailleurs" en période d’élections : le syndicat a dit vrai et tout le monde le constate.
L’absence totale de transparence, d’équité et très souvent d’humilité dans la gestion des derniers publics (mal gouvernance) par les prince du jour : les syndicats ont dit vrais et tout le monde le constate (n’oublions pas que nous sommes dans un pays de savane où tout le monde se voit)
Le nombre pléthorique de syndicats dans notre pays et le caractère très souvent réducteur des revendications au profit de groupuscules : les syndicats l’ont dit et c’est vrais (donc c’est leur autocritique)
QUESTIONS :
en dehors des revendications, que font les syndicats pour que chaque jour que Dieu fait les gouvernants se rappellent de ce qui doit être leur devoir quotidien dans la bonne gouvernance ? A mon sens rien car on oublie que c’est par ces rappels que tous finissent par s’accommoder à la vertu ;
toutes les sorties des syndicats font toujours référence aux droits des travailleurs, n’ont-ils pas de devoir à rappeler de temps en temps (je ne demande pas de citer quelques cas très très trésor rares) ? L’incivisme généralisé dans le pays est essentiellement dû au fait que dans ce pays tout le monde a un droit et personne n’a un devoir. Or ailleurs les deux font corps.
Chaque groupuscule (même dans le privé) dans ce pays a-t-il forcément besoin de se constituer en syndicat pour chaque fois mettre le couteau à la gorge de sa Direction ? Je pense qu’en plus de mettre à plat le système de salaires, il faut aussi profiter rédefinir des conditions (liées essentiellement à la taille de la corporation, au degré de sensibilité de l’absence de certains services vis à vis des population, ...) de création de syndicat et même de seuils de déclenchement de mouvement.