Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Laurent Poda, procureur général : « S’il y a des individus qui enfreignent la loi, peu importe leur dénomination, on les poursuit ! »
16 mars 2016, 09:55, par
Sonré
Les problème du système judiciaire burkinaè se résume à deux maux : 1) corruption et 2) code pénal inadapté à nos réalités. Du premier problème découle une quasi-absence de confiance du justiciable à la justice. Du 2e problème découle une frustration des justiciables. Tout ça fait que la difficulté de notre justice aujourd’hui est structurelle. Il faut que ces premiers responsables aient le courage de la voir comme tel et y apporter les réponses appropriés au lieu de chercher à avoir de gros salaires. C’est ainsi que peut être résolu le problème des Koglwéogo qui est plus profond que les "défenseurs de la loi" veulent le faire croire. Même avec plus gros moyens pour les magistrats et autres acteurs de la justice les problèmes ne seront pas résolus dans les conditions actuelles. D’ailleurs, une étude à montré au Ghana voisin que l’augmentation des revenus des magistrat n’a rien changé à la corruption. Ils étaient encore corrompus, la différence étant qu’ils n’étaient plus accessibles à tous les corrupteurs. En français facile, "leur prix avait augmenté". Réfléchissons !
Les problème du système judiciaire burkinaè se résume à deux maux : 1) corruption et 2) code pénal inadapté à nos réalités. Du premier problème découle une quasi-absence de confiance du justiciable à la justice. Du 2e problème découle une frustration des justiciables. Tout ça fait que la difficulté de notre justice aujourd’hui est structurelle. Il faut que ces premiers responsables aient le courage de la voir comme tel et y apporter les réponses appropriés au lieu de chercher à avoir de gros salaires. C’est ainsi que peut être résolu le problème des Koglwéogo qui est plus profond que les "défenseurs de la loi" veulent le faire croire. Même avec plus gros moyens pour les magistrats et autres acteurs de la justice les problèmes ne seront pas résolus dans les conditions actuelles. D’ailleurs, une étude à montré au Ghana voisin que l’augmentation des revenus des magistrat n’a rien changé à la corruption. Ils étaient encore corrompus, la différence étant qu’ils n’étaient plus accessibles à tous les corrupteurs. En français facile, "leur prix avait augmenté". Réfléchissons !