Procureur général, Laurent Poda : « S’il y a des individus qui enfreignent à la loi, peu importe leur dénomination, ça ne me regarde pas, on les poursuit ! »
16 mars 2016, 09:13, par
Farma Damien
Nous avons un problème au Burkina Faso. Nous pensons qu’un pardon équivaut à l’expiation d’une faute quel qu’en soit sa gravité. Le pardon est un acte moral et purger sa peine est un acte de droit. le pardon des élèves de Diapaga ne saurait expier leur faute. il faut tout de suite arrêter les meneurs de ces manifestations, et ouvrir une enquête car derrière l’acte de ces élèves il y a une tête pensante mal inspirée qui a poussé jusqu’au rubicon. Est-ce que le pardon des élèves répare le préjudice subit par la fille violée, sa famille, les agents de sécurité et d’autres victimes collatérales...??? Si c’est une option pour le Burkina d’ériger le pardon en peine, là aussi ça se légifère ; et tant mieux pour le justiciable car demander pardon est 7X77 fois mieux que croupir en cachot. Soit on veut un état de droit, soit on veut le far west. A nous de choisir !
Nous avons un problème au Burkina Faso. Nous pensons qu’un pardon équivaut à l’expiation d’une faute quel qu’en soit sa gravité. Le pardon est un acte moral et purger sa peine est un acte de droit. le pardon des élèves de Diapaga ne saurait expier leur faute. il faut tout de suite arrêter les meneurs de ces manifestations, et ouvrir une enquête car derrière l’acte de ces élèves il y a une tête pensante mal inspirée qui a poussé jusqu’au rubicon. Est-ce que le pardon des élèves répare le préjudice subit par la fille violée, sa famille, les agents de sécurité et d’autres victimes collatérales...??? Si c’est une option pour le Burkina d’ériger le pardon en peine, là aussi ça se légifère ; et tant mieux pour le justiciable car demander pardon est 7X77 fois mieux que croupir en cachot. Soit on veut un état de droit, soit on veut le far west. A nous de choisir !