Le problème de la mutualisation dans le domaine des renseignements est qu’on ne peut pas maîtriser les fuites d’informations. Ce faisant, cela pourrait profiter aux djihadistes qui disposent de plusieurs moyens pour infiltrer nos service de sécurité et avoir les renseignements dont ils ont besoin.
Pour ma part il faut d’abord mettre l’accent sur la formation de nos agents de renseignements, créer des unités spécialisés en matière de renseignements et de luttes (intelligence+armement).
J’ai plusieurs fois emprunter les routes nationales burkinabè mais laissez moi vous dire que les contrôles laissent à désirer. il y a trop de laxisme et de complaisance. Que dire alors de nos pistes rurales ?
Ensuite, le partage de renseignements se fera pour traquer des mouvements suspects qui transiteraient d’une frontière à une autre.
Le problème de la mutualisation dans le domaine des renseignements est qu’on ne peut pas maîtriser les fuites d’informations. Ce faisant, cela pourrait profiter aux djihadistes qui disposent de plusieurs moyens pour infiltrer nos service de sécurité et avoir les renseignements dont ils ont besoin.
Pour ma part il faut d’abord mettre l’accent sur la formation de nos agents de renseignements, créer des unités spécialisés en matière de renseignements et de luttes (intelligence+armement).
J’ai plusieurs fois emprunter les routes nationales burkinabè mais laissez moi vous dire que les contrôles laissent à désirer. il y a trop de laxisme et de complaisance. Que dire alors de nos pistes rurales ?
Ensuite, le partage de renseignements se fera pour traquer des mouvements suspects qui transiteraient d’une frontière à une autre.