Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
« J’ai peur qu’il y ait bientôt trop de la matière à s’opposer », Zéphirin Diabré, chef de file de l’opposition
11 mars 2016, 12:37, par
sanyirvièl
Internaute n° 28, je suis un cadre du sud-ouest, démissionnaire de l’UPC depuis la guerre de positionnement aux élections de 2012, qui a mis à nu le vrai visage de ce parti et de ses dirigeants. L’histoire est en train de me donner raison, et on n’a encore rien vu d’abord de ce qui adviendra à ce parti bourré d’opportunistes plus tôt que de militants sincères.
J’ai appelé les populations du sud-ouest comme vous l’avez fait, à prendre son destin politique en mains, après avoir contribué à l’implantation de l’UPC dans une partie de cette région, et découvert ce que vous venez de dénoncer, mais elles m’ont opposé le proverbe qui dit que "mains vides n’appellent pas chien"
Quand les intellectuels et les jeunes filles et garçons vendeurs de bars dans les villes comprendront qu’ils n’auront même plus de terres pour cultiver le sorgho et en boire le dolo, il ne leurs restera que leurs balafons pour se saouler aux funérailles.
On nous connaît bien maintenant !!!!!!.....Jalousie, calomnie, division, c’est nous.
Internaute n° 28, je suis un cadre du sud-ouest, démissionnaire de l’UPC depuis la guerre de positionnement aux élections de 2012, qui a mis à nu le vrai visage de ce parti et de ses dirigeants. L’histoire est en train de me donner raison, et on n’a encore rien vu d’abord de ce qui adviendra à ce parti bourré d’opportunistes plus tôt que de militants sincères.
J’ai appelé les populations du sud-ouest comme vous l’avez fait, à prendre son destin politique en mains, après avoir contribué à l’implantation de l’UPC dans une partie de cette région, et découvert ce que vous venez de dénoncer, mais elles m’ont opposé le proverbe qui dit que "mains vides n’appellent pas chien"
Quand les intellectuels et les jeunes filles et garçons vendeurs de bars dans les villes comprendront qu’ils n’auront même plus de terres pour cultiver le sorgho et en boire le dolo, il ne leurs restera que leurs balafons pour se saouler aux funérailles.
On nous connaît bien maintenant !!!!!!.....Jalousie, calomnie, division, c’est nous.