« Je pouvais être battu ou même tué... » : Belem Issa, victime de koglwéogo
10 mars 2016, 07:52, par
souhan Nassia Jean Baptiste
Voilà qui est clair, que Dieu sauve mon pays. Cette question des kolgwéogo, il faut la prendre au sérieux. Les premiers responsables du pays doivent bien écouter ceux qui se font moins entendre pour le moment, et comprendre la partie invisible de iceberg c’est-à-dire les dérives dont les conséquences seront incalculables et assurément plus difficiles à gérer. Il ne faut pas croire aux solutions faciles. Je m’interroge sur ce que deviendront ces gens dans cinq ou dix ans ? Vivement, que l’on trouve d’autres moyens, notamment rendre notre justice forte. C’est le noeud du problème.
C’est ma petite voix.
Voilà qui est clair, que Dieu sauve mon pays. Cette question des kolgwéogo, il faut la prendre au sérieux. Les premiers responsables du pays doivent bien écouter ceux qui se font moins entendre pour le moment, et comprendre la partie invisible de iceberg c’est-à-dire les dérives dont les conséquences seront incalculables et assurément plus difficiles à gérer. Il ne faut pas croire aux solutions faciles. Je m’interroge sur ce que deviendront ces gens dans cinq ou dix ans ? Vivement, que l’on trouve d’autres moyens, notamment rendre notre justice forte. C’est le noeud du problème.
C’est ma petite voix.