Grève des magistrats : Le « dilatoire » du ministre Bagoro en cause ?
25 février 2016, 10:31, par
SIDNABA
J’ai vraiment honte de ses juges du Burkina Faso. Tenez, pendant 30 années pleines, le Président Compaoré les a tous "Caporalisé" et il a fallu la jeunesse Burkinabè pour nous libérer et libérer également ses juges qui parlent à présent "d’indépendance" de la Justice.
Aussi, pourquoi ces juges acquis n’exposent pas à l’opinion nationale et internationale, les couts financiers de cette reforme de la justice qu’ils tiennent à faire appliquer ? En Français facile, cette reforme coute Combien au contribuable Burkinabè ? Durant les 30 dernières années, quel bilan avez vous à communiquer au peuple Burkinabè pour demander qu’il saigne davantage pour des juges acquis ? Vous avez classé sans suite des dossiers tels Norbert Zongo, Thomas Sankara, etc. Il a fallut le soulèvement populaire de notre jeunesse pour que ces dossiers refassent surface malgré vous et au grand bonheur du peuple Burkinabè. Demandez à Halidou Ouédraogo, à Komi Sambo Antoine, etc. combien ils avaient comme salaires quand ils jugeaient honorablement les dossiers soumis ? Aujourd’hui votre problème n’est pas financier mais moral et surtout la couardise en votre sein. Il faut donc résoudre ces préalables avant toute autre demande surtout financière.
J’ai vraiment honte de ses juges du Burkina Faso. Tenez, pendant 30 années pleines, le Président Compaoré les a tous "Caporalisé" et il a fallu la jeunesse Burkinabè pour nous libérer et libérer également ses juges qui parlent à présent "d’indépendance" de la Justice.
Aussi, pourquoi ces juges acquis n’exposent pas à l’opinion nationale et internationale, les couts financiers de cette reforme de la justice qu’ils tiennent à faire appliquer ? En Français facile, cette reforme coute Combien au contribuable Burkinabè ? Durant les 30 dernières années, quel bilan avez vous à communiquer au peuple Burkinabè pour demander qu’il saigne davantage pour des juges acquis ? Vous avez classé sans suite des dossiers tels Norbert Zongo, Thomas Sankara, etc. Il a fallut le soulèvement populaire de notre jeunesse pour que ces dossiers refassent surface malgré vous et au grand bonheur du peuple Burkinabè. Demandez à Halidou Ouédraogo, à Komi Sambo Antoine, etc. combien ils avaient comme salaires quand ils jugeaient honorablement les dossiers soumis ? Aujourd’hui votre problème n’est pas financier mais moral et surtout la couardise en votre sein. Il faut donc résoudre ces préalables avant toute autre demande surtout financière.