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Libérations conditionnelles de prisonniers au Burkina : Quand le parquet pêche par l’absence de communication !

19 février 2016, 14:45, par off

Merci beaucoup grand-père de nous avoir aidé à lever le lièvre. Il se susurre même que certains ne retournerons jamais en tôle. Et avec de tels comportements, vous (les magistrats) sortez crier de démanteler les Koglwéogo. Nous sommes tous conscients du danger que devenir cet hydre de koglwéogo qui peut même nous conduire à une guerre civile si on y prend garde, mais le préfère à la justice qui n’a presque jamais rien fait de bon pour le citoyen lambda. Ce qui très malheureux, c’est la corruption qui rampe sous les toges dans les palais. Les juges oublient que c’est nous population qui corrompons les juges qui sortons faire la publicité des juges corrompus à nos proches. Si pour gagner un procès équitable il faut un bon avocat, au burkina faso, il faut connaître le juge qui a en charge votre dossier, le reste est connu. Je demande à tous : si vous avez un dossier tordu, renseignez-vous dans votre entourage, on vous indiquera un palais, un juge qui pourra vous tirer d’affaire si vous acceptez le prix à payer.
Pour revenir à la libération des ministres et des maires, je vous demande de bien regarder la coïncidence troublante de leurs (anciens ministres Salif Kaboré, Arthur Kafando et les anciens maires Zakaria Sawadogo, Joanny Ouedraogo ou encore Basile Kaboré) dates de mise en liberté pour comprendre qu’ils sont tombés malades en même temps, qu’ils de la même maladie au même degré, que leurs avocats ont rédigé et déposé leur demande de mise en liberté provisoire le même jour, à la même heure, ................. bref. De ce que nous avons appris, au lieu d’aller en clinique, certains sont allés organiser des "doa" dans leurs villages.


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