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Eddie Komboïgo en garde à vue

25 janvier 2016, 09:02, par Sidpayétka

BONJOUR A TOUS !
Hé ! Les gars réjouissez vous car le jour du Seigneur se lève. Que ceux qui ont des oreilles entendent, que ceux qui ont des yeux voient et que ceux sont intelligents réfléchissent.
Edite COMBIGO est de retour. C’est bien et meme très bien. C’est un vrai patriote prêt a se sacrifier pour dire la vérité et rien que la vérité. Prions tous car le Seigneur lui a enfin ouvert les yeux ; le pouvoir de l’argent n’est rien devant le pouvoir de l’amour du prochain et de la Patrie. Le pays de l’oncle SAM en est une illustration Il est revenu en digne Tanpsoba pour nous ouvrir le chemin de l’honneur sinon emprunter celui déjà tracé par nous les gueux du pays réel qui préférons la mort a la honte en détalant comme des lièvres, qui préférons mettre l’étranger a l’aise meme s’il faille dormir a jeun. Notre chère chérie FATOUMATA reviens toi aussi et montre nous le chemin de l’honneur et non pas celui de la couardise et de la lâcheté car vos envoyés et contempteurs (les soldats délinquants qui ont voulu prendre la caserne de Yimdi) ont échoué dans l.exécution de leur mission. Alors comme des rossignols nous chanterons : " Pitié toi mon amour, Pitié toi mon cœur....Qu’il vente ou qu’il pleuve....... reviens moi....çà c’est du Rochereau alias Tabu Ley des années ’74". Viens faire ton pied mon pied avec le Général. Les Burkinabe sauront reconnaître les siens surtout par ces temps d’attaques djihadistes ou tempiistes (bâtardes en français). La fibre patriotique a donc vibré et résonné dans l’oreille de Edite tout comme l’écho du chant en chœur des enfants et femmes du village de l’Afrique traditionnelle et solidaire ou la vie a un sens. Soyons tous des BOKASSA 1ER de la Centrafrique qui au bout du rouleau a préféré affronter la justice de son pays et demander pardon a son peuple avant de répondre a l’appel du CREATEUR, MAITRE DE L’UNIVERS. Ne soyons jamais des Mobutou SESSEKO ou des Eyadema tous morts dans des avions médicalisés du Maroc sans pouvoir demander pardon a leurs peuples. Bienvenue Edite. Que FATOUMATA et BLAISE aussi soient touchés par cette sensation au moment ou le chaos au Burkina constituera une tempête dévastatrice de la sous région Ouest Africaine qui ne les épargnera guère. Le slogan "LA PARIE OU LA MORT NOUS VAINCRONS" nous révèle maintenant tous son sens en tout cas pour tous ceux qui ne le comprenaient pas encore ou ne voulaient l’admettre.


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