Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Attaque de la poudrière de Yimdi : 11 individus aux arrêts
24 janvier 2016, 09:06, par
Sidpayétka
BONJOUR A TOUS !
Hop ! et hop ! Un, deux et trois...............
Et le BURKINA FASO, vient de sauter comme a la marraine (le jeu des jeunes écolières) et de franchir la ligne rouge, la ligne de l’enfer, la ligne des règlements de comptes politiques et géopolitico-économiques et a la faveur des visées hégémonistes d’un clan sur un autre d’une corporation sur une autre, d’un pays sur un autre ou d’une civilisation sur une autre. Mais pourquoi cela mais frères, pourquoi mes sœurs, pourquoi mes amis. Ne sommes nous pas de toutes les races, de toutes les ethnies, de toutes les cultures et civilisations ?N’avons-nous pas d’autres préoccupations telles la lutte contre la désertification, contre la pauvreté et pour la réinsertion sociale de nos parents expulsés et/ou en voie de l’être après spoliation de part et d’autre dans la sous région ou ailleurs dans le monde ? Pourquoi nous voulons coûte que coûte franchir cette ligne. Ces militaires apatrides roulent-ils pour qui ? Qui qu’ils soient, et quel qu’en soit le ou les commanditaires de ses actes, mes frères Burkinabés, sachez une chose : si le dialogue ne parvient pas a résoudre un problème, les armes ne feront que de nous éloigner du consensus optimum critique pour un vivre ensemble apaisé. Nous n’avons pas besoin de rébellions ici et la et maintenant et a jamais. Fasse le Tout Puissant comprendre a tous qu’on ne brûle jamais sa propre case au risque de dormir sous les arbres ou dans des grottes sous les intempéries et les agressions de toutes sortes et de toutes parts. Entre le Capitaine THOMAS ISIDORE NOEL SANKARA et ses militaires voleurs d’armes, qui est plus renégat, question posée a celui la ou ceux la mêmes qui ont lu la déclaration de la rectification de la révolution burkinabé un soir du 15 octobre 1987 ?
BONJOUR A TOUS !
Hop ! et hop ! Un, deux et trois...............
Et le BURKINA FASO, vient de sauter comme a la marraine (le jeu des jeunes écolières) et de franchir la ligne rouge, la ligne de l’enfer, la ligne des règlements de comptes politiques et géopolitico-économiques et a la faveur des visées hégémonistes d’un clan sur un autre d’une corporation sur une autre, d’un pays sur un autre ou d’une civilisation sur une autre. Mais pourquoi cela mais frères, pourquoi mes sœurs, pourquoi mes amis. Ne sommes nous pas de toutes les races, de toutes les ethnies, de toutes les cultures et civilisations ?N’avons-nous pas d’autres préoccupations telles la lutte contre la désertification, contre la pauvreté et pour la réinsertion sociale de nos parents expulsés et/ou en voie de l’être après spoliation de part et d’autre dans la sous région ou ailleurs dans le monde ? Pourquoi nous voulons coûte que coûte franchir cette ligne. Ces militaires apatrides roulent-ils pour qui ? Qui qu’ils soient, et quel qu’en soit le ou les commanditaires de ses actes, mes frères Burkinabés, sachez une chose : si le dialogue ne parvient pas a résoudre un problème, les armes ne feront que de nous éloigner du consensus optimum critique pour un vivre ensemble apaisé. Nous n’avons pas besoin de rébellions ici et la et maintenant et a jamais. Fasse le Tout Puissant comprendre a tous qu’on ne brûle jamais sa propre case au risque de dormir sous les arbres ou dans des grottes sous les intempéries et les agressions de toutes sortes et de toutes parts. Entre le Capitaine THOMAS ISIDORE NOEL SANKARA et ses militaires voleurs d’armes, qui est plus renégat, question posée a celui la ou ceux la mêmes qui ont lu la déclaration de la rectification de la révolution burkinabé un soir du 15 octobre 1987 ?