Excision au Burkina : Le silence complice des parents
2 janvier 2016, 20:27, par
TANM
Je pense que le problème est mal posé. Dans la mentalité des gens, l’enfant c’est une propriété, leur chose. En plus il y a la démission des pouvoirs publiques et l’hypocrisie des acteurs.
Sinon, que dites vous des tortures sur bébés dans les salons de coiffures et de tresses, où port de chouchous oblige, ont arrache littéralement les cheveux de ces innocentes jusqu’à la racine.
Intégrez cette donne à la lutte et dites à ces chères mamans que le BURKINA a besoin têtes bien pleinent et non de têtes bien faitent.
Passée la phase de sensibilisation, il faut réprimer.
Je pense que le problème est mal posé. Dans la mentalité des gens, l’enfant c’est une propriété, leur chose. En plus il y a la démission des pouvoirs publiques et l’hypocrisie des acteurs.
Sinon, que dites vous des tortures sur bébés dans les salons de coiffures et de tresses, où port de chouchous oblige, ont arrache littéralement les cheveux de ces innocentes jusqu’à la racine.
Intégrez cette donne à la lutte et dites à ces chères mamans que le BURKINA a besoin têtes bien pleinent et non de têtes bien faitent.
Passée la phase de sensibilisation, il faut réprimer.