Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
« Sauf à vouloir entrer dans l’histoire à reculons, la place de l’UPC est et demeure aux côtés du MPP », dixit Louis Armand Ouali, 2ème Vice- Président de l’UPC
23 décembre 2015, 07:07, par
Yiriba
Il y a encore de grands politiciens qui ignorent comment fonctionne un état démocratique. Il faut toujours une opposition solide et variée pour freiner les ardeurs et l’arrogance d’un gouvernement qui serait tenter de prendre des raccourcis impopulaires et mettre de l’avant certains projets de lois rapidement du type Art. 37. Sinon, qui va questionner les gouvernants sur la gestion des finances publiques, les dépenses de voyages des ministres, l’attribution des marchés publiques gré à gré, les conflits d’intérêts, le manque de transparence, le favoritisme, etc..., si tous les élus valables du pays vivent dans le même camp la main dans la main par la solidarité du pouvoir exécutif ? Sans opposition qualitative et quantitative, il ne reste que la presse (medias) pour ralentir les ardeurs d’un gouvernement peu soucieux de l’éthique. Pourtant le peuple a élu et paie des députés pour faire l’opposition, mais pas les medias. M. Ouali, si vous êtes sérieux dans vos argumentations que les deux partis ont des visions communes ou proches, recommandez à l’UPC et au MPP de fusionner en un parti et vous examinerez les réactions. Pour le moment, le peuple croyait avoir à faire à deux visions différentes de gouverner en UPC et MPP, et on veut une opposition solide.
Il y a encore de grands politiciens qui ignorent comment fonctionne un état démocratique. Il faut toujours une opposition solide et variée pour freiner les ardeurs et l’arrogance d’un gouvernement qui serait tenter de prendre des raccourcis impopulaires et mettre de l’avant certains projets de lois rapidement du type Art. 37. Sinon, qui va questionner les gouvernants sur la gestion des finances publiques, les dépenses de voyages des ministres, l’attribution des marchés publiques gré à gré, les conflits d’intérêts, le manque de transparence, le favoritisme, etc..., si tous les élus valables du pays vivent dans le même camp la main dans la main par la solidarité du pouvoir exécutif ? Sans opposition qualitative et quantitative, il ne reste que la presse (medias) pour ralentir les ardeurs d’un gouvernement peu soucieux de l’éthique. Pourtant le peuple a élu et paie des députés pour faire l’opposition, mais pas les medias. M. Ouali, si vous êtes sérieux dans vos argumentations que les deux partis ont des visions communes ou proches, recommandez à l’UPC et au MPP de fusionner en un parti et vous examinerez les réactions. Pour le moment, le peuple croyait avoir à faire à deux visions différentes de gouverner en UPC et MPP, et on veut une opposition solide.