Fêtes légales au Burkina : Désormais, ajoutez les 29 septembre, 30 et 31 Octobre

Cher autorité de la transition, je marque mon désaccord avec ce fait :

 La date du 30 octobre commémore le soulèvement populaire de 2014 au même titre que le soulèvement populaire de 1966( 3 janvier). dans une année deux commémorations relatives au soulèvement populaire pour la seule nation !!
 le lendemain 31 octobre commémoration de nos martyrs
 le lendemain 1er novembre, Toussaint et fête de l’armée.

En résumé le Burkina ne travaillera pas pendant 3 jours d’affilés. combien cela nous coûte ? combien perdons nous en terme de recette ?
nous sommes un pays en voie de développement, s’il est bien de célébrer notre bravoure c’est important de se faire des recettes pour s’attaquer aux causes profondes, ce qui nous conduit à l’insurrection. si tous les soulèvements doivent être fêter sans que l’on résolve nos problèmes sociaux nous risquons de voir au moins 10 fêtes de soulèvement dans une même année civile.
je propose que le 29 septembre soit supprimée des fetes legales et que la date du 30 octobre soit retenue pour toutes les fetes. par ailleurs il ne sera pas fériée : juste un depot de gerbe à la place des heros nationaux par le president accompagné de tous les parlementaires et presidents d’institutions y compris l’etat major des armées. que les recettes du jour soit strictement alloué à la realisation d’un infrastructure socio-sanitaire de facon tournante dans nos regions
la suppression de la fete du pardon n’est pas appropriée : ce n’est pas parce qu’elle est instituée par Blaise compaoré qu’elle est mauvaise. c’est ça manière de commémorée quiétait belliqueuse. elle est et demeure necessaire. elle doit etre maintenue et le jour à la fin du service tout le monde se retrouve au stad du 4 aout (pour ceux de Ouaga) avec les autorités étatiques. dans les autres regions on se retrouvera autour de nos autorités regionales pour la commeration ;

Unité dans la diversité, c’est le Faso qui y gagne