Crises universitaires au Burkina : Une interpellation de l’opinion publique
7 novembre 2015, 21:28, par
Amour
Mon cher ami, je comprends ton indignation et voire ta souffrance. Mais je te demande aussi de bien vouloir comprendre l’indignation et la frustration des autres qui ne partagent pas le comportement des étudiants. Tu demandes aux autres "humblement de reconsidérer vos positions, d’abandonner vos préjugés" Mais je souhaite aussi que humblement les étudiants acceptent de dir a leurs amis étudiants qu’ils ont mal agit. Votre silence devant ces attitudes peu responsable de vos amis étudiants est un silence coupable qui révolte. Sommes-vous dans une caserne pour parler de solidarité de corps ?? E même ça, le coup de force des RSP du 16 sept nous enseigne que la solidarité militaire épouse une logique. Mon cher ami, est- tu d’accord que tes amis étudiants disent qu’ils ont pris en otage le personnel de CENOU juste pour faire d’eux des boucliers de sécurités contre la police qui étaient a leur trousse ? Es-tu d’accord que tes amis disent qu’ils demanderaient pas pardon pour cet acte ? Mon cher ami, les autres se sentent indignés et frustrés de voir leurs fils, frères, ainés et amis étudiants agir de cette manière. Alors, peux-tu comprendre l’indignation des autres !!!
Mon cher ami, je comprends ton indignation et voire ta souffrance. Mais je te demande aussi de bien vouloir comprendre l’indignation et la frustration des autres qui ne partagent pas le comportement des étudiants. Tu demandes aux autres "humblement de reconsidérer vos positions, d’abandonner vos préjugés" Mais je souhaite aussi que humblement les étudiants acceptent de dir a leurs amis étudiants qu’ils ont mal agit. Votre silence devant ces attitudes peu responsable de vos amis étudiants est un silence coupable qui révolte. Sommes-vous dans une caserne pour parler de solidarité de corps ?? E même ça, le coup de force des RSP du 16 sept nous enseigne que la solidarité militaire épouse une logique. Mon cher ami, est- tu d’accord que tes amis étudiants disent qu’ils ont pris en otage le personnel de CENOU juste pour faire d’eux des boucliers de sécurités contre la police qui étaient a leur trousse ? Es-tu d’accord que tes amis disent qu’ils demanderaient pas pardon pour cet acte ? Mon cher ami, les autres se sentent indignés et frustrés de voir leurs fils, frères, ainés et amis étudiants agir de cette manière. Alors, peux-tu comprendre l’indignation des autres !!!