Université de Ouagadougou : encore et toujours du temps perdu pour l’enseignement supérieur
5 novembre 2015, 08:30
Vraiment nous en avons assez de ces crises qu’on organise dans la crise générale que vit le pays .... cette crise au CENOU qui déborde dans l’Université et tente de gagner le pays tout entier est une honte contre laquelle le gouvernement et le CNT doivent prendre leurs responsabilités pour que l’éducation redevienne possible dans ce pays ...
Article 1 : Il est interdit dans notre pays de faire du chantage à la nation et au gouvernement en disant "..........nous avons lutté pour chasser BC ou contre le putsch de septembre......" pour culpabiliser la nation ou le gouvernement de ne pas faire tout ce que vous voulez, satisfaire tous vos caprices ....
article 2 : le droit de grêve est reconnu à tous, mais celui qui veut aller en grêve va sous le soleil à la place de la nation ou à la bourse du travail ... et gare à celui qui perturbe la circulation des honnêtes gens qui circulent et font tourner l’économie nationale. Tout gréviste a aussi le droit de manger les arachides bouillies, grillées et crues et de boire un peu d’eau pour ne pas se déshydrater ... Celui qui crache sur le Cenou ne doit plus demander à manger au RU, ou dormir dans les Cités U. Celui qui veut le départ du DG Cenou peut lui même s’en aller loin du Cenou ... c’est plus facile. Celui qui crache sur l’Université n’est pas obligé d’y rester, il peut aller voir ailleurs ... c’est la liberté .... pour tous.
article 3 : Le droit d’étudier est reconnu à tous, mais tout le monde n’est pas obligé d’aller à l’Université, surtout si on ne veut pas consentir des sacrifices comme beaucoup d’autres citoyens qui galèrent sans pour autant prendre le gouvernement et la nation entière en otage
article 4 : nul ne peut faire du chantage à un parti politique (ou à la transition) avant les élections ....en menaçant de ne pas voter pour lui s’il satisfait pas les caprices des grévistes
article 5 : nul ne peut imposer à l’Etat de fermer un établissement d’enseignement primaire, secondaire ou supérieur, sous prétexte que lui n’est pas content ou qu’il a des intentions maléfiques à l’encontre de la nation. Celui qui attente à l’éducation dans notre pays est punissable de la peine de mort car attenter à l’éducation c’est tuer l’avenir du burkina Faso. empêcher d’autres étudiants ou élèves de suivre les cours est passible de la peine de mort .... mais on commence par 40 coups de fouet en public ... et s’il se repent, on le libère. On peut décider de ne pas se former, mais nul ne peut empêcher autrui de se former pour servir la nation ...
Bon, Messieurs du Gouvernement, du CNT et du MESS, nous avons besoin du calme dans nos établissements pour travailler. Libérez le campus .... SVP, pour l’avenir du Burkina Faso.
Vraiment nous en avons assez de ces crises qu’on organise dans la crise générale que vit le pays .... cette crise au CENOU qui déborde dans l’Université et tente de gagner le pays tout entier est une honte contre laquelle le gouvernement et le CNT doivent prendre leurs responsabilités pour que l’éducation redevienne possible dans ce pays ...
Article 1 : Il est interdit dans notre pays de faire du chantage à la nation et au gouvernement en disant "..........nous avons lutté pour chasser BC ou contre le putsch de septembre......" pour culpabiliser la nation ou le gouvernement de ne pas faire tout ce que vous voulez, satisfaire tous vos caprices ....
article 2 : le droit de grêve est reconnu à tous, mais celui qui veut aller en grêve va sous le soleil à la place de la nation ou à la bourse du travail ... et gare à celui qui perturbe la circulation des honnêtes gens qui circulent et font tourner l’économie nationale. Tout gréviste a aussi le droit de manger les arachides bouillies, grillées et crues et de boire un peu d’eau pour ne pas se déshydrater ... Celui qui crache sur le Cenou ne doit plus demander à manger au RU, ou dormir dans les Cités U. Celui qui veut le départ du DG Cenou peut lui même s’en aller loin du Cenou ... c’est plus facile. Celui qui crache sur l’Université n’est pas obligé d’y rester, il peut aller voir ailleurs ... c’est la liberté .... pour tous.
article 3 : Le droit d’étudier est reconnu à tous, mais tout le monde n’est pas obligé d’aller à l’Université, surtout si on ne veut pas consentir des sacrifices comme beaucoup d’autres citoyens qui galèrent sans pour autant prendre le gouvernement et la nation entière en otage
article 4 : nul ne peut faire du chantage à un parti politique (ou à la transition) avant les élections ....en menaçant de ne pas voter pour lui s’il satisfait pas les caprices des grévistes
article 5 : nul ne peut imposer à l’Etat de fermer un établissement d’enseignement primaire, secondaire ou supérieur, sous prétexte que lui n’est pas content ou qu’il a des intentions maléfiques à l’encontre de la nation. Celui qui attente à l’éducation dans notre pays est punissable de la peine de mort car attenter à l’éducation c’est tuer l’avenir du burkina Faso. empêcher d’autres étudiants ou élèves de suivre les cours est passible de la peine de mort .... mais on commence par 40 coups de fouet en public ... et s’il se repent, on le libère. On peut décider de ne pas se former, mais nul ne peut empêcher autrui de se former pour servir la nation ...
Bon, Messieurs du Gouvernement, du CNT et du MESS, nous avons besoin du calme dans nos établissements pour travailler. Libérez le campus .... SVP, pour l’avenir du Burkina Faso.