Situation dans les cités universitaires : L’UGEB dit “Non à l’utilisation des œuvres sociales comme moyen de chantage !”
31 octobre 2015, 06:57, par
Jonassan
Les oeuvres sociales, ce sont les oeuvres sociales CE QUI VEUT DIRE que ce n’est pas un dû. Alors, les nécessiteux bénéficiaires ne peuvent en faire un objet de revendication surtout pas de leur qualité. Le chantage, c’est vous qui le faites, puisque vous allez dans la rue en disant s’ils ne le font pas, on les torpille ; ou bien ? Le disciple qui fait du chantage à son maitre ne mérite pas de se présenter devant lui. Comme le RSP doit obéissance passive et immédiate à la République, le disciple doit obéissance passive et immédiate à son maitre. Ainsi sont établies les règles dans la vie de la Cité. Vous serez quoi demain si vous refusez d’apprendre aujourd’hui. Votre action, ce bras de fer, que vous avez décidé d’engager avec les autorités n’est rien d’autre que de l’indiscipline des enfants gâtés de la République (exactement comme la conduite du RSP). Combien d’étudiants logent dans ces cités ? une minorité ; alors faire d’un report d’occupation un motif pour prendre en otage les cours à l’Université confirme la comparaison selon laquelle vous n’êtes pas différent du RSP que le peuple a dissout. Que dites-vous des élèves burkinabé qui suivent des cours sous des paillotes ? Que dites-vous de ces maitres burkinabé qui logent sous ces mêmes paillotes ? Le Burkina est pauvre et partager cette pauvreté n’est que justice. Le régime Compaoré vous a fait miroiter des illusions de prospérité dichotomique et clanique à vous faire croire que nous vivons dans une mare de richesses. Réveillez-vous !
Les oeuvres sociales, ce sont les oeuvres sociales CE QUI VEUT DIRE que ce n’est pas un dû. Alors, les nécessiteux bénéficiaires ne peuvent en faire un objet de revendication surtout pas de leur qualité. Le chantage, c’est vous qui le faites, puisque vous allez dans la rue en disant s’ils ne le font pas, on les torpille ; ou bien ? Le disciple qui fait du chantage à son maitre ne mérite pas de se présenter devant lui. Comme le RSP doit obéissance passive et immédiate à la République, le disciple doit obéissance passive et immédiate à son maitre. Ainsi sont établies les règles dans la vie de la Cité. Vous serez quoi demain si vous refusez d’apprendre aujourd’hui. Votre action, ce bras de fer, que vous avez décidé d’engager avec les autorités n’est rien d’autre que de l’indiscipline des enfants gâtés de la République (exactement comme la conduite du RSP). Combien d’étudiants logent dans ces cités ? une minorité ; alors faire d’un report d’occupation un motif pour prendre en otage les cours à l’Université confirme la comparaison selon laquelle vous n’êtes pas différent du RSP que le peuple a dissout. Que dites-vous des élèves burkinabé qui suivent des cours sous des paillotes ? Que dites-vous de ces maitres burkinabé qui logent sous ces mêmes paillotes ? Le Burkina est pauvre et partager cette pauvreté n’est que justice. Le régime Compaoré vous a fait miroiter des illusions de prospérité dichotomique et clanique à vous faire croire que nous vivons dans une mare de richesses. Réveillez-vous !