Situation dans les cités universitaires : Des associations d’étudiants appellent à la grève
30 octobre 2015, 11:58, par
LE CITOYEN
"Il faut oser inventer l’avenir" comme a dit le président SANKARA. Pour mettre fin à l’anarchie et à la récupération politique de nos universités je propose :
1°) La suppression de la restauration et du logement des œuvres universitaires ;
2°) L’allocation d’une aide forfaitaire compensatrice aux étudiants nécessiteux en fonction de leur résultats académiques à partir de la 3e années.
3°) Augmenter les frais d’inscription à 150 000 F CFA par an comme contribution au fonctionnement de l’université.
Vous verrez que les syndicats anarchopolitiques vous disparaitre.
A ce que je sache, ce sont impôts du contribuables burkinabè (donc la frange la plus nantie, qui n’envoie pas ses enfant à l’école public) qui payent pour le fonctionnement de l’université.
Quand on se dit intellectuel ou on prétend vouloir le devenir, le droit et le respect des règles doivent être nos premiers crédos, mais pas la prétention de notre pauvreté, car tous les étudiants n’ayant pas leurs parents à Ouagadougou ne résident pas en cité et même ceux qui sont ont logés quelques part après le BAC avant la cité.
"Il faut oser inventer l’avenir" comme a dit le président SANKARA. Pour mettre fin à l’anarchie et à la récupération politique de nos universités je propose :
1°) La suppression de la restauration et du logement des œuvres universitaires ;
2°) L’allocation d’une aide forfaitaire compensatrice aux étudiants nécessiteux en fonction de leur résultats académiques à partir de la 3e années.
3°) Augmenter les frais d’inscription à 150 000 F CFA par an comme contribution au fonctionnement de l’université.
Vous verrez que les syndicats anarchopolitiques vous disparaitre.
A ce que je sache, ce sont impôts du contribuables burkinabè (donc la frange la plus nantie, qui n’envoie pas ses enfant à l’école public) qui payent pour le fonctionnement de l’université.
Quand on se dit intellectuel ou on prétend vouloir le devenir, le droit et le respect des règles doivent être nos premiers crédos, mais pas la prétention de notre pauvreté, car tous les étudiants n’ayant pas leurs parents à Ouagadougou ne résident pas en cité et même ceux qui sont ont logés quelques part après le BAC avant la cité.