Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Crise dans les cités universitaires : Le SYNADEC condamne la méthode des étudiants
24 octobre 2015, 05:50, par
Sidpasata Veritas
PLUS RIEN NE SERA COMME AVANT
AVANT : Le régime de Compaoré avait choisi d’étouffer l’intelligence et de promouvoir la médiocrité par le clientélisme, la fraude et le banditisme. C’est pour cela que l’université et l’enseignement supérieur en général, n’étant pas une priorité, ont été détruits, négligés puis abandonnés à la merci de certains jeunes caïds qui avaient compris que l’avenir dans ce régime appartient à ceux qui ne reculent devant rien (y compris manipulation et violence) pour défendre ses propres intérêts égoïsmes.
MAINTENANT : Le régime Compaoré a disparu, ses méthodes et les mauvaises habitudes qu’il provoquait aussi doivent disparaitre. Il est évident que le nouveau pouvoir né de la Transition et des prochaines élections est tenu de travailler à régler les problèmes de l’université et de l’enseignement supérieur au Burkina, sous peine d’être sanctionné dans l’opinion publique et dans les urnes. Il faut aussi que les étudiants comprennent qu’ils doivent adapter leurs revendications et les méthodes de leurs luttent à l’évolution politique que connait notre pays. Nous désirons tous le développement de l’université et nous seront tous debout pour défendre cet instrument indispensable à la vie de la Nation. Il faut donc que les étudiants sachent qu’il s’agit d’une cause nationale et pas seulement estudiantine et que leurs actions doivent entrer dans le cadre d’un état de droit voulu par tous pour notre pays. La pagaille et la loi du plus fort n’arrangera personne et ne trouvera aucun soutient auprès des citoyens véritables patriotes et défenseurs des causes nationales.
PLUS RIEN DE SERA COMME AVANT, NI POUR LES GOUVERNANTS, NI POUR LES ÉTUDIANTS.
PLUS RIEN NE SERA COMME AVANT
AVANT : Le régime de Compaoré avait choisi d’étouffer l’intelligence et de promouvoir la médiocrité par le clientélisme, la fraude et le banditisme. C’est pour cela que l’université et l’enseignement supérieur en général, n’étant pas une priorité, ont été détruits, négligés puis abandonnés à la merci de certains jeunes caïds qui avaient compris que l’avenir dans ce régime appartient à ceux qui ne reculent devant rien (y compris manipulation et violence) pour défendre ses propres intérêts égoïsmes.
MAINTENANT : Le régime Compaoré a disparu, ses méthodes et les mauvaises habitudes qu’il provoquait aussi doivent disparaitre. Il est évident que le nouveau pouvoir né de la Transition et des prochaines élections est tenu de travailler à régler les problèmes de l’université et de l’enseignement supérieur au Burkina, sous peine d’être sanctionné dans l’opinion publique et dans les urnes. Il faut aussi que les étudiants comprennent qu’ils doivent adapter leurs revendications et les méthodes de leurs luttent à l’évolution politique que connait notre pays. Nous désirons tous le développement de l’université et nous seront tous debout pour défendre cet instrument indispensable à la vie de la Nation. Il faut donc que les étudiants sachent qu’il s’agit d’une cause nationale et pas seulement estudiantine et que leurs actions doivent entrer dans le cadre d’un état de droit voulu par tous pour notre pays. La pagaille et la loi du plus fort n’arrangera personne et ne trouvera aucun soutient auprès des citoyens véritables patriotes et défenseurs des causes nationales.
PLUS RIEN DE SERA COMME AVANT, NI POUR LES GOUVERNANTS, NI POUR LES ÉTUDIANTS.