Sécurité : Les ennemis et les forces du mal n’ont pas encore dit leur dernier mot, selon le nouveau ministre

En matière de sécurité, tout est à refaire dans la mesure où le domaine était entre les mains du général DIENDERE et de sa clique.Le nouveau ministre va commencer un nouveau chantier en attendant les futures autorités issues des élections du 29 novembre prochain. La sécurité a un coût et les Burkinabé devraient pour faire mettre la main à la main à la poche. Maintenant, que faire des forces du mal et les ennemis du peuple pris en flagrant délit ? Les juger et seulement les embastiller au frais de la République ou faire dans la fermeté pour décourager les apprentis putschistes ?