Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Cités universitaires : Les résidents exigent le retrait de la plainte et la démission du DG du CENOU
15 octobre 2015, 09:36, par
Shalom
Bonjour,
Je suis une fois de plus écœuré par les actes irresponsables des étudiants de l’Université de Ouagadougou. Malheureusement, ces évènements récents ne sont que l’illustration de la déconfiture du système de l’enseignement supérieur au Burkina Faso. Il y a longtemps que les étudiants dictent leur loi dans nos universités publiques : ce sont eux qui fixent le nombre et les dates des devoirs, décident du système de contrôle des connaissances etc. Il y a une chose que nos politiques devraient avoir le courage de dire : tous les bacheliers du Burkina Faso ne sont pas tenus de s’inscrire dans une université publique, car tout le budget national ne suffirait pas à régler les problèmes de nos universités. Je souhaite au prochain gouvernement d’avoir le courage politique nécessaire pour traiter ce problème sans démagogie et avec sang froid.
Bonjour,
Je suis une fois de plus écœuré par les actes irresponsables des étudiants de l’Université de Ouagadougou. Malheureusement, ces évènements récents ne sont que l’illustration de la déconfiture du système de l’enseignement supérieur au Burkina Faso. Il y a longtemps que les étudiants dictent leur loi dans nos universités publiques : ce sont eux qui fixent le nombre et les dates des devoirs, décident du système de contrôle des connaissances etc. Il y a une chose que nos politiques devraient avoir le courage de dire : tous les bacheliers du Burkina Faso ne sont pas tenus de s’inscrire dans une université publique, car tout le budget national ne suffirait pas à régler les problèmes de nos universités. Je souhaite au prochain gouvernement d’avoir le courage politique nécessaire pour traiter ce problème sans démagogie et avec sang froid.