Rentrée scolaire 2015-2016 : Les filles du lycée provincial Bafuji de Gaoua désormais coiffées à la garçonne

Plus de mèches dans les écoles, je suis parfaitement d’accord avec mais pas forcement la coiffure ou la coupe à la garçonne ou raser carement des filles. les filles ou les parents qui veulent garder leur longs cheveux naturels doivent pouvoir le faire aussi et y appliquer les coiffures africaines (nattes, tresses) sans artifices, c’est ça aussi la féminité, et cela s’apprend aussi depuis le bas âge, pour être une femme qui s’est s’arranger par la suite dans un foyer ou dans la société, déjà que nos femmes (certaines) aiment se délaisser une fois dans le mariage où sont taxées de ne pouvoir s’arranger( par rapport aux femmes d’autres pays notaament limitrophes) ce qui peut être à la base d’autres problèmes dans les foyers par la suite ou de frustration au milieu des mieux arrangées et présentées, si elles commencent à ne rien apprendre depuis le bas âge concernant la féminité, attendons de voir la suite, pour peut être entendre que un tel a waké ou retirer mon mari par la suite. Moi je suis passée par un établissement religieux où les mèches étaient interdites et la liberté dans les coiffures de chez nous, avec l’accent sur la propreté et la bonne présentation, paradoxalement on nous apprenait à être des femmes et j’en suis bien fier aujourd’hui, car au delà des études et de mes diplômes aujourd’hui je sais faire et fais plein de choses qui étonnent beaucoup de gens surtout les femmes quand je leur dis que c’est à l’école que je les ai apprises. éduquons dans le bon sens mais pas forcement à faire ressembler des filles à des garçons ou vice versa. le problème de l’éducation est plus que cela et chacun : parents, éducateurs, familles responsables d’établissement, sociétés, états... tout le monde est interpellé et doit jouer sa partition pleinement.