Coup d’Etat du Général Gilbert Diendéré : Les conséquences politiques directes d’une semaine de folie
25 septembre 2015, 18:33
Si l’on veut bien voir, si vous insistez à parler d’exclusion, elle a commencer dès le moment où le CDP a voulu modifier l’art 37 pour imposer le Blaiso au pouvoir à vie. Tous le système leur étant acquis, tout autre candidat ne pouvait avoir aucune chance.... il n ya pas d’exclusion, il n y a pas eu de parti disqualifié, le CDP s’est entêté pour se mettre au dessus de la loi électorale burkinabè en ayant pour appui des mains extérieures comme soutien pour leur assurer qu’ils sont sur la bonne voie. La loi électorale burkinabè s’est faite sur la base de la Charte de la démocratie que tous les politiciens connaissent. Y a pas d’exclusion, si on avait proposé Juliette BONKOUNGOU comme candidate CDP à la présidence, elle serait passée sans problème, mais ils ont tenu à défier l’exécutif, le législatif et le judiciaire burkinabè. Il n’est pas possible qu’on parle aujourd’hui d’exclusion. Là, je ne suis pas d’accord.....
Si l’on veut bien voir, si vous insistez à parler d’exclusion, elle a commencer dès le moment où le CDP a voulu modifier l’art 37 pour imposer le Blaiso au pouvoir à vie. Tous le système leur étant acquis, tout autre candidat ne pouvait avoir aucune chance.... il n ya pas d’exclusion, il n y a pas eu de parti disqualifié, le CDP s’est entêté pour se mettre au dessus de la loi électorale burkinabè en ayant pour appui des mains extérieures comme soutien pour leur assurer qu’ils sont sur la bonne voie. La loi électorale burkinabè s’est faite sur la base de la Charte de la démocratie que tous les politiciens connaissent. Y a pas d’exclusion, si on avait proposé Juliette BONKOUNGOU comme candidate CDP à la présidence, elle serait passée sans problème, mais ils ont tenu à défier l’exécutif, le législatif et le judiciaire burkinabè. Il n’est pas possible qu’on parle aujourd’hui d’exclusion. Là, je ne suis pas d’accord.....