Logements sociaux de Bassinko : Les propriétaires passent du rêve à la dure réalité
8 septembre 2015, 08:30, par
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Je suis un proprio d’une des maisons de CGE. Nous ne sommes pas du tout contents des finitions des travaux des maisons. Ils nous ont promis la levée des réserves faites lors de la réception des clés. Jusque-là rien. La question des dalles pour couvrir ces grands caniveaux ouverts devant l’entrée des cours. Cette question est restée mythique. Comment une entreprise peut avoir le marché de faire les caniveaux et une autre doit venir les couvrir ? Quand on aborde la question, CGE nous dit d’aller prendre les dalles et venir les mettre nous-mêmes à nos frais. Ces grands caniveau à ciel ouvert sont une source d’insécurité pour nous et nos enfants.
Le responsable de Wend-Panga n’a pas tort : no pity in business. Que DIEU nous aide. Si l’Etat veut tuer sa population, le businessman n’a pas ce temps. Il peut juste l’aider à l’achever. Le ministère de l’habitat et de l’urbanisme est interpellé.
Une fois de plus, je me dis si malgré la distance, l’insécurité, l’accessibilité précaire de cette zone, nous avons souscrit à ces logement c’est une question de bourses.
L’Etat est interpellé pour ces grands caniveau qui nous empêchent d’accéder à notre cours, l’eau, électricité, la sécurité et l’accessibilité du site.
Je suis un proprio d’une des maisons de CGE. Nous ne sommes pas du tout contents des finitions des travaux des maisons. Ils nous ont promis la levée des réserves faites lors de la réception des clés. Jusque-là rien. La question des dalles pour couvrir ces grands caniveaux ouverts devant l’entrée des cours. Cette question est restée mythique. Comment une entreprise peut avoir le marché de faire les caniveaux et une autre doit venir les couvrir ? Quand on aborde la question, CGE nous dit d’aller prendre les dalles et venir les mettre nous-mêmes à nos frais. Ces grands caniveau à ciel ouvert sont une source d’insécurité pour nous et nos enfants.
Le responsable de Wend-Panga n’a pas tort : no pity in business. Que DIEU nous aide. Si l’Etat veut tuer sa population, le businessman n’a pas ce temps. Il peut juste l’aider à l’achever. Le ministère de l’habitat et de l’urbanisme est interpellé.
Une fois de plus, je me dis si malgré la distance, l’insécurité, l’accessibilité précaire de cette zone, nous avons souscrit à ces logement c’est une question de bourses.
L’Etat est interpellé pour ces grands caniveau qui nous empêchent d’accéder à notre cours, l’eau, électricité, la sécurité et l’accessibilité du site.