Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Universités publiques : « On est tous prêts à s’investir pour ne pas ajouter du retard au retard », dixit le Pr Filiga Michel Sawadogo
4 septembre 2015, 10:44, par
zemosse
Il faut des mesures fortes et suivies et non du verbiage et du verbiage depuis le Recteur Alfred Traoré en passant par Paré Joseph, Filiga lui même, Mme Nacoulima, Koulidiati Jean, Kabre Gustave, Bayo Karifa et l’actuel Rabiou Cisse.Aucun n’a pu résoudre le problème du chevauchement des années universitaires.Tous ont été vaincus. Ils ont constitué les !vrais problèmes de l’Université de’Ouagadougou.La preuve ? La jeune université de Koudougou se retrouve empêtré dans les même problèmes que l’UO. Pourquoi ? la mal ’gouvernance pratiquée par des jeunes arrivistes qu’on a propulsé à la tête de cette jeune université. Une fois propulsé à la tête de cette université le sieur Segda s’est préoccupé de sa carrière politique.il !devint député. Il’en est’de’meme du ’jeune Koulidiati qui se préoccupa !de sa carrière politique.il fut propulsé ministre.Paré fut propulsé ministre puis ambassadeur,la suite’on l’a connait.Voilà !la !réalité !Ils ont tous abandonné l’Université à ses problemes pour leurs ambitions personnelles.La solution :
ELIRE DEMOCRATIQUEMENT les présidents d’université sur la base de leur programme qu’ils !seront tenus de respecter grâce à une feuille de route
doter les départements et directions d’ufr d’un budget propre géré par leur responsables ( chef département et directeur)
prévoir des sanctions fermes pour les enseignants fantômes
encourager les enseignants et agents atos exemplaires
faire le point de la situation pedagogiques à chaque trimestre et corriger les’defaillances
NB : l’actuel ministre de la fonction publique (Loada) fut directeur d’ufr. Il démissionna pour assouvir ses ambitions personnelles.À réfléchir.
Il faut des mesures fortes et suivies et non du verbiage et du verbiage depuis le Recteur Alfred Traoré en passant par Paré Joseph, Filiga lui même, Mme Nacoulima, Koulidiati Jean, Kabre Gustave, Bayo Karifa et l’actuel Rabiou Cisse.Aucun n’a pu résoudre le problème du chevauchement des années universitaires.Tous ont été vaincus. Ils ont constitué les !vrais problèmes de l’Université de’Ouagadougou.La preuve ? La jeune université de Koudougou se retrouve empêtré dans les même problèmes que l’UO. Pourquoi ? la mal ’gouvernance pratiquée par des jeunes arrivistes qu’on a propulsé à la tête de cette jeune université. Une fois propulsé à la tête de cette université le sieur Segda s’est préoccupé de sa carrière politique.il !devint député. Il’en est’de’meme du ’jeune Koulidiati qui se préoccupa !de sa carrière politique.il fut propulsé ministre.Paré fut propulsé ministre puis ambassadeur,la suite’on l’a connait.Voilà !la !réalité !Ils ont tous abandonné l’Université à ses problemes pour leurs ambitions personnelles.La solution :
ELIRE DEMOCRATIQUEMENT les présidents d’université sur la base de leur programme qu’ils !seront tenus de respecter grâce à une feuille de route
doter les départements et directions d’ufr d’un budget propre géré par leur responsables ( chef département et directeur)
prévoir des sanctions fermes pour les enseignants fantômes
encourager les enseignants et agents atos exemplaires
faire le point de la situation pedagogiques à chaque trimestre et corriger les’defaillances
NB : l’actuel ministre de la fonction publique (Loada) fut directeur d’ufr. Il démissionna pour assouvir ses ambitions personnelles.À réfléchir.